1. Une pause bienvenue


    Datte: 17/04/2024, Catégories: fff, fplusag, jeunes, campagne, fsoumise, fdomine, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, caresses, jouet, Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe

    ... nymphes – mes chers nymphéas ! – de Colette, et qui a le plus malmené le mamelon qu’elle tourmente.
    
    Malgré ma précaution de soutenir le sein quand j’écarte les mors, le retour de la circulation dans son extrémité arrache un jappement à Marie. Je sais que je lui fais mal, et plus encore quand je frictionne vigoureusement cette pauvre fraise aplatie et pâle pour lui redonner vie, forme, et couleur. J’en suis désolée, mais dans ce cas plus la douleur est vive, moindre est sa durée. Les gémissements s’apaisent, en effet, la respiration se calme, puis se bloque quand mes mains s’approchent de l’autre pince.
    
    — Pardon, ma puce chérie. Il le faut. Tu verras, tu te sentiras mieux après.
    
    Elle hoche la tête et se mord les lèvres pour étouffer ses plaintes pendant que je renouvelle mes gestes.
    
    Enfin, c’est fini. Les globes de ma jeune amoureuse ont retrouvé leur plénitude. Pour l’en féliciter et retarder l’inévitable suite, je lèche les griffures qui scarifient son flanc. Il revient à ma bouche un mélange troublant du goût salé de sa sueur acide et du soupçon persistant d’agrume vanillé de sa peau, auxquels s’ajoute l’âcreté d’une pointe de sang. Je partage ces saveurs avec elle dans un baiser qui réunit nos langues, avant de me laisser glisser au niveau de son sexe. La puissance des effluves qui s’en dégagent ne me surprend pas. J’aspire à pleins poumons cette odeur de « craquette exultante » qui gonfle ma poitrine et qui émeut mon ventre. Ma chatte, à son tour, mouille, ...
    ... frémit et pleure.
    
    J’ai une furieuse envie de la contenter de mes doigts, ou, mieux, de l’offrir à ceux de Marie, mais c’est sachatoune à elle qui réclame mes soins. Détachées des tétons qu’elles guidaient, les chaînettes d’acier pèsent sur les anneaux des pinces de la vulve et étirent de leur poids les petites lèvres allongées. Le gode clipsé sur les anneaux sort déjà en partie du conin. Il me faut le détacher de ces apparaux pour libérer la vulve des entraves qui la contraignent et je ne suis pas sûre que les muscles vaginaux gardent assez de tonicité pour le retenir.
    
    C’est auprès d’Andréa que je demande une aide. Cette femme me plait, plus proche de mon âge, joyeuse et bienveillante, et aussi comme moi plus récemment convertie aux pratiques de la « peine/plaisir » dont Colette et consorts ont fait profession ou hobby. C’est elle qui maintient le gode dans son fourreau pendant que je le dégage délicatement des pinces qui le fixaient, et avec lui les nymphes tourmentées des mors qui les serraient. La double plainte de Marie me brise le cœur autant que voir ses chairs fragiles garder des marques blanches qui s’impriment sur leur gonflement. Il me faut malgré tout les frictionner ainsi que j’ai fait des tétons. Je m’y emploie sous l’œil approbateur d’une Andréa radieuse.
    
    Marie, d’abord retient ses cris, puis gémit doucement, soupire et halète. Je masse fortement ses lèvres qui glissent entre mes doigts et que je dois pincer pour combattre le mélange de sueur et de ...
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