Une pause bienvenue
Datte: 17/04/2024,
Catégories:
fff,
fplusag,
jeunes,
campagne,
fsoumise,
fdomine,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
caresses,
jouet,
Auteur: Dyonisia, Source: Revebebe
... soumises suppléeront au manque d’eau, de savon et d’éponge. C’est la dernière trouvaille de notre Reine du jour.
Martine nous aligne sur deux files. Elle me découple de Andréa et m’accole à Janine. La grande et la potelée côte à côte, ça l’amuse, dit-elle. Elle affecte Anaïs à Bénédicte et donc se réserve Andréa pour passer les premières à la toilette de chat. Le jeu est simple : on se tient debout, bras et jambes écartés. La lécheuse commence par les aisselles, passe au dos, revient sur la poitrine, retourne sur les reins et les fesses, assèche la raie du cul et termine entre les cuisses. Les aines et lafoune doivent être scrupuleusement nettoyées, mais défense formelle de faire jouir la patiente. Bien sûr, la soumise exécute sa tâche les mains sur la nuque ou dans le dos, à son gré – la mansuétude de la Reine est incommensurable – et se débrouille avec son nez pour assurer le passage de la langue entre les fesses. Lorsqu’elle a remonté sa file de bénéficiaires, elle repasse sur celles de sa sœur de tourments pour parfaire le travail.
Cela n’a l’air de rien, dit comme ça, mais il faut compter avec la fatigue, la soif, le sel de la sueur qui la redouble, et la malice de la fille qui se prête à la toilette. Passer entre ses cuisses et sa vulve, en lécher les bords, en sucer les lèvres et le bouton, ne peuvent que l’émouvoir. Pour peu qu’elle y mette du sien, un orgasme est vite arrivé. Faute lourde pour la soumise, qui sera sanctionnée d’une flagellation de la chatte ...
... – « à la branche de kermès », me glisse Janine. Chacune en a été avertie, à elle de prendre ses précautions.
Je suis la dernière des trois que Colette entreprend. Bénédicte me masque en partie les mouvements de sa tête autour de Martine, mais je vois mieux ceux de Marie. En particulier quand son minois s’enfouit dans les grosses fesses de Andréa. Son popotin rebondi, aussi, qui s’agite quand elle lutte pour garder son équilibre. Je suis mieux placée pour suivre ses gestes et ceux de Colette lorsqu’elles s’occupent respectivement de Anaïs et de Béné. Là, j’ai le cul de Colette qui flirte avec mes genoux, ou, entre les jambes écartées devant moi, sa chatte ouverte et ses nymphéas qui pendouillent au rythme de ses coups de langues. Du coin de l’œil, j’aperçois les contorsions de ma jeune voisine sous les léchouilles assidues de ma puce appliquée. Mais, au moment où Colette vient vers moi, j’oublie Marie.
Les yeux de Colette ne quittent pas mon visage tandis qu’elle déguste mes aisselles dégoulinantes. Les frissons de ses chatouilles se communiquent à mes seins et persistent alors que son regard m’a abandonné. Mes tétons durcissent malgré moi quand sa langue parcourt mon dos, lentement, de la nuque à la taille, dans toute sa largeur. Ses yeux me reprennent lorsqu’elle lèche ma poitrine, enrobant mes globes, glissant dans leur vallée, pour téter délicatement leur bout, avant de descendre sur mon ventre. Ma chatte fond en sentant les caresses vrillant mon nombril. Sa tête ...