Le parfum de l'interdit - Histoires de Sexe

Le parfum de l'interdit

... ressembler à rien sinon à un vaste cratère. Je pense n’avoir jamais pris des coups de bite aussi puissants ! Je sens son corps se tendre, je sens son corps décupler de puissance, les veines de son membre magique se gonfler, il arrive, il va m’inonder le cul !

— RRRRaaaaaaahhhhh ! Ça y est ! Tiens, prends ça !

Les muscles de mon sphincter compriment sa queue tandis qu’il m’envoie des giclées de liquide brûlant. Son foutre se déverse dans mon cul comme la lave d’un volcan brûlant tout sur son passage, la sensation est divine, mon corps est secoué comme un prunier, un orgasme fulgurant me foudroie.

Je gueule :

— AAArrrrggggllll ! Ouiiiiiiiiiii ! Ennnnccccooooorrrreeee !

Une fois avoir joui et vidé ses couilles dans mes entrailles, il se retire et s’effondre à mes côtés, épuisé, le souffle court et le sourire à décrocher la lune ! J’essaie également de retrouver ma respiration.

Putain, qu’est-ce qu’il m’a mis !

Je me blottis dans ses bras, le visage contre son torse imberbe avec une vue imprenable sur sa bite à demi rigide d’où suinte encore du jus d’amour.

Je le câline, et je laisse mes lèvres chaudes embrasser son corps. Nous nous embrassons, nos langues virevoltent et s’enivrent mutuellement de leur parfum et de leur fraîcheur.

— Kevin, on ne m’a jamais fait autant jouir ! On ne m’a jamais aussi bien baisée !

La sensation qui m’a envahi était sensationnelle, je pense ce que je dis, jamais je n’avais joui comme ça. Était-ce dû à la présence de ...

... mon fils ? J’avais franchi un nouvel interdit, un interdit encore plus tabou, plus pervers que ceux que j’avais déjà franchis !

Puis nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre.

Le réveil sonne déjà, j’ai l’impression que nous n’avons pas dormi de la nuit, je me sens groggy. J’émerge doucement et à mes côtés se trouve mon bel étalon. Je l’embrasse pour lui dire bonjour. J’aimerais pouvoir l’attacher au lit et en profiter toute la journée, mais il faut aller travailler…

Je me lève un peu à regret et descends préparer le petit-déj. Je mets juste une culotte et un long pull en laine qui arrive juste en dessous de mes fesses.

Je m’affaire à mettre le café en route, sortir les tartines, le pot de cacao lorsque mon fils me rejoint :

— Bonjour maman.

Un rien de gêne s’installe, je ne suis pas à l’aise avec ce qui s’est produit… Il me donne un bisou dans le cou comme il le fait souvent puis s’installe.

— Bien dormi ? me dit-il en souriant à pleines dents.
— Écoute, chéri…

Je me tourne vers mon fils, et le retour à la réalité ne se fait pas sans ressentir un sentiment de honte et de remords :

— Je suis désolée, Mat ! Je ne comprends pas… Je n’ai pas pu résister… Mais j’avais tellement envie… Je voulais me contrôler… Tu sais, d’habitude, je ne suis pas comme ça…

Mais il me coupe :

— Non, maman, ne dis rien, j’préfère pas savoir… Bon sang, j’t’avais prévenu !

Un silence s’installe puis mon fils reprend :

— Tu te rends compte ? C’est mon ...