Le parfum de l'interdit - Histoires de Sexe

Le parfum de l'interdit

... pote… Putain, c’est un étudiant !

Je préfère me taire, il a raison, je m’en veux terriblement…

Là-dessus, Kevin arrive. Il shake avec mon fils, deux copains quoi ! Mon fils tire la gueule, mais Kev soutient son regard et lui dit :

— Quoi ? T’es pas content pour ta mère ? Elle s’est fait du bien, y a rien de mal à ça ! T’es pas content de la voir heureuse ?

Je reste dans mon coin, je n’interviens pas, puis mon fils lui répond :

— Si, bien sûr que je suis content pour elle, mais ça fait bizarre…

Puis il se place dans mon dos, me tient par la taille, me souffle dans le cou et me murmure :

— Julie, j’ai envie de toi. Tu sais, moi, je suis du matin…

Ce disant, il me met une main sous le pull et déplace ma petite culotte pour atteindre ma minette, de l’autre, il m’attrape un sein et commence à le masser délicatement. Je sens immédiatement mes tétons se durcir… signe évident que j’aime ce qu’il me fait, mais…

Je me dégage, il ne faut quand même pas exagérer.

— Écoute Kev, hier, c’était super, mais maintenant, c’est tout, c’est de l’histoire ancienne…

Puis je cherche mon fils et lui dis :

— Je suis vraiment désolée, chéri, excuse-moi…

La scène de ménage semble s’être un peu dissipée, puis je rappelle que nous n’avons pas beaucoup de temps si nous voulons arriver à l’heure. Nous petit-déjeunons tranquillement dans une ambiance qui s’apaise et nous avons encore une demi-heure devant nous.

Et puis, tour à tour, nous allons dans la salle de ...

... bain. Au moment où Mat est parti se laver, Kevin, félin, animal, vient vers moi et m’enlace.

— C’est vrai ce que tu as dit, nous, c’est de l’histoire ancienne ?
— Kevin, nous avons fait une énorme bêtise, il faut arrêter, ce n’est plus possible…

Je n’ai pas le temps de finir ma phrase qu’il me roule une galoche digne des galoches de cinéma. Je fonds comme neige au soleil… mon petit démon se réveille, je me sens d’humeur coquine et j’ai envie de partir au boulot sur une bonne note, histoire de bien commencer la journée…

Je m’agenouille et sans dire un mot, lui déboutonne le jean et j’extirpe sa belle grosse bite du caleçon. J’adore quand le prépuce cache partiellement son gros gland ! Je commence à le branler.

Assez rapidement, Kevin commence à durcir. Je le regarde et je compte bien le regarder pendant toute la durée de l’opération, un regard de salope. Il se laisse aller et commence à gémir, son sexe atteint une longueur et une grosseur proche de son zénith, je lui dis :

— Alors, tu m’as dit que t’étais du matin ?
— J’vais devoir te le prouver !

Alors, j’approche ma bouche de son gros dard, je tremble d’excitation ! En moins de deux minutes, me voilà transformée en furie avide de bites, la chatte en chaleur. Qu’est-ce qui déclenche chez moi cette frénésie de sexe ? Je ne saurais l’expliquer. Boah ! J’aurai tout le temps d’y penser à la fac, pour l’instant, seul ce gros bâton de chair m’importe !

Je le lèche doucement de bas en haut depuis ses grosses ...