Le parfum de l'interdit - Histoires de Sexe

Le parfum de l'interdit

... mon transport !

— KKKKKEEEEEVVVVVIIIIINNNNNN ! AAAAAAAAHHHHH ! C’est trop bon ! Oh, comment tu me défonces ? Je suis à toi ! Je suis ta chienne !

Orgasmes sur orgasmes en vagues secouent mon corps. Kevin passe de mon cul à ma minette puis de ma minette au cul. Ça va faire une bonne demi-heure qu’il me tronche sans discontinuer, je suis au septième ciel !

Il me dit :

— Je peux plus m’arrêter de te baiser ! C’est tellement bon de baiser sa p’tite prof !
— Tu me fais tant de bien, mon chéri, tu me baises si bien ! Je suis pleine de ta bite !

Puis je le sens se contracter, se raidir, ses mouvements deviennent saccadés, plus forts, plus violents. Je hurle :

— Ooooouuuuiii ! Vas-y ! Inonde-moi de ton jus !

Puis il se fige et commence l’éruption de sperme ! Il m’envoie une rasade dans le cul, puis sur mon ventre, une giclée si forte qu’elle atteint mon menton. Je suis assise sur lui, sa belle bite entre mes cuisses crache encore du bon foutre. Une fois les couilles complètement vidées, Kevin me traite longuement de salope et me fouette les fesses avec sa queue ramollie. C’est divin !

Je retourne ma tête pour l’embrasser voluptueusement, nos langues valsent, il n’y a plus qu’elles qui soient capables du moindre mouvement, nous sommes harassés.

Soudain, j’entends la porte d’entrée s’ouvrir ! Instinctivement, je regarde l’heure sur le réveil, il est 18 h, c’est Paul qui vient de rentrer.

Panique !

Tandis que Kevin et moi tentons de sauver les apparences, j’entends Paul dans la cuisine. Au bout de deux minutes, je descends, les cheveux en bataille, la robe sur le côté, dégoulinante de sueur et rouge comme une pivoine.

Paul me dévisage, mais ne pipe mot. Puis Kevin descend à son tour dans un état à peine meilleur que le mien. Puis Paul me jauge de la tête au pied avant de dire :

— Salope !