Le parfum de l'interdit
Datte: 31/03/2024,
Catégories:
f,
fh,
fplusag,
jeunes,
extracon,
Collègues / Travail
école,
fsoumise,
hdomine,
odeurs,
ffontaine,
Masturbation
facial,
Oral
69,
fdanus,
coprolalie,
totalsexe,
prof,
Auteur: Melle Mélina, Source: Revebebe
... s’écarteler, se dilater pour gagner centimètre après centimètre cette formidable trique qui m’enverra valser dans des mondes enchantés.
L’énorme calibre de Kevin me pénètre, c’est bon de sentir une grosse queue dans ma petite chatte ! Je suis chaude-bouillante, et en même temps, légère, légère et désinhibée.
— Kevin, je suis remplie de toi ! Je te sens jusqu’à mon utérus ! OOOOOHHHH, vas-y ! Bourre-moi !
Il se cramponne à mes hanches et commence à accélérer. Il me baise si bien, de plus en plus fort, de plus en plus vite. Il me possède. Il devient bestial et me donne des coups de boutoir insensés ! Je geins, je m’accroche à ses fesses, je l’enserre avec mes jambes pour l’emprisonner.
Il veut m’éclater ! Il m’avait déjà pilonné durement, mais jamais avec autant de force et de puissance, le lit commence à donner des coups dans le mur, à chaque ruade, la tête de lit cogne le mur, je suis hors de mon corps, j’oublie mon fils, j’oublie qu’il est fort probable qu’il soit réveillé.
Kev se doute aussi que les bruits ont réveillé son pote alors, il redouble de puissance, il veut prouver quelque chose, il envoie un message à mon fils… Il me lime comme un fou, s’enfonce le plus loin possible dans ma grotte. Je gémis, je lui griffe le dos, les fesses. Il attrape mes jambes, les surélève et les resserre. Je suis sur le dos, les jambes en l’air et resserrées, il me décalamine la chatte ! Nous adorons nous dévisager tandis qu’il me pilonne sauvagement,
— Tu aimes ça, ...
... pas vrai ? T’es une vraie chienne, c’est pas vrai ? Dis-le que tu es une chienne et que t’as envie de te faire enculer…
— Oh oui, finis-je pas avouer, je suis ta chienne !
— Et ?
— Je veux que tu m’encules !
Je me place en levrette, je m’attends à me faire déchirer l’anus, mais Kevin pénètre ma petite chatte qu’il laboure avec force. À chaque coup, ses couilles viennent frapper sur mes cuisses, à chaque coup, mon corps est projeté vers l’avant, j’ai le visage écrasé sur le coussin, ce qui a pour effet de bien atténuer mes cris de jouissance. Heureusement, car je ne crie pas, non, je gueule.
Oh putain, qu’est-ce qu’il me met !
— Oh, Kevin, je vais mourir !
À ses mots, il se retire puis pousse son gland à l’entrée de mon anus, il se fraie non sans effort un passage dans mon anneau que je sens s’écarteler plus que de raison. J’ai mal, j’ai l’impression qu’il va me scier en deux, mais je sais qu’après la douleur, une autre émotion prendra le dessus alors, je souffle et j’essaie de me détendre.
— Bon sang, qu’est-ce que c’est serré ! Tu m’écrases la bite avec ton magnifique cul ! Qu’est-ce qu’il est beau ton cul ! C’est moi qui vais le défoncer !
Il s’est enfoncé plus profondément et commence les va-et-vient doucement pour que je puisse bien m’habituer et bien tout ressentir. Il accélère, je crie de plus en plus fort, je n’ai plus mal, je ne ressens plus qu’un plaisir intense.
— Arrrgggglllll !
Kevin se démène comme un sauvage, ma rosette ne doit plus ...