Le parfum de l'interdit
Datte: 31/03/2024,
Catégories:
f,
fh,
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jeunes,
extracon,
Collègues / Travail
école,
fsoumise,
hdomine,
odeurs,
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Masturbation
facial,
Oral
69,
fdanus,
coprolalie,
totalsexe,
prof,
Auteur: Melle Mélina, Source: Revebebe
... quatre s’en amusent, même mon fils.
Mine de rien, toutes ces conversations m’ont tourné la tête… Je m’en aperçois le soir tandis que je suis dans mon lit, les propos de Kevin me reviennent en tête et, étrangement, m’excitent quelque peu… Je me love dans les bras de Paul, mon mari, mais ce dernier me rembarre gentiment, il a envie de dormir !
Je suis terriblement frustrée, je vis avec un homme pour qui le sexe importe peu. Il ne m’a plus touchée depuis longtemps et, visiblement, cela ne lui manque pas !
J’en connais un qui, s’il m’avait dans son plumard, n’aurait pas dormi…
Au campus, nous entamons le cycle « piscine ». Le lundi, c’est deux heures de sport, le jeudi, deux heures également, et le samedi, histoire de bien commencer le week-end, les premières années de Staps ont sport au gymnase de onze heures à midi, juste avant la fermeture de l’établissement.
Je n’ai que très peu d’élèves lorsqu’il y a natation, les filles se sont fait porter pâle, l’une à ses règles, l’autre est allergique, une autre est phobique, le certificat médical l’atteste(mon œil…), l’autre a oublié ses affaires, etc. Bon, c’est toujours la même chose avec la piscine.
Néanmoins, une dizaine de garçons sont là, dont les quatre fantastiques : mon fils et sa bande de kékés. Sans raison apparente, une pensée traverse ma tête et je me remémore la discussion bien salace que j’ai surprise entre les garçons.
« Y en a une que j’aimerais faire gueuler… C’est ta mère ! » Cette phrase ...
... prononcée par ce petit merdeux de Kevin est revenue dans ma tête et me trouble de nouveau. Quelque chose se passe en moi et vient remuer mon bas-ventre. Involontairement, je me surprends à regarder discrètement la bosse qu’ils ont au niveau du maillot de bain et mon regard s’attarde plus ostensiblement lorsqu’arrive Kevin.
Le môme doit être sacrément bien monté à voir le renflement qu’il a au niveau du maillot. Cette vision me perturbe. Il a dû le percevoir, car, quand nos yeux se sont croisés, il m’a décoché le plus doux des sourires, de ses sourires pleins de sous-entendus.
Je rougis comme une pivoine, surprise en plein matage de queue.
C’est la première fois dans toute ma carrière d’enseignante que je connais un tel malaise, c’est la première fois que je pense à ces gosses de manière plus sexuelle et, à ce moment précis, je donnerai beaucoup pour pouvoir partager les vestiaires, je voudrais être une mouche pour voir ces jeunes hommes à poils, mais surtout pour voir le sexe de ce kéké de Kevin… Je ferme les yeux pour m’imprégner encore plus de cette image.
À la fin du cours, Kevin, conscient de m’avoir émoustillée, vient me voir, le corps mouillé, pour me demander un truc idiot, le moindre prétexte pour avoir confirmation de ce qu’il a perçu. De nouveau, une douce chaleur m’envahit et imperceptiblement mon regard s’abaisse en direction de son bas ventre. Il me pose une question que je n’entends même pas,
— Madame ?
Je suis confuse, je reviens à la réalité…
— ...