Le facteur - semaine 2
Datte: 27/03/2024,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
jeunes,
gros(ses),
grosseins,
groscul,
bain,
campagne,
Oral
pénétratio,
journal,
occasion,
Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe
... Maintenant tu vas mériter ce que tu as eu avant. Tu vas me laisser gentiment profiter de ton gros cul.
Et je l’ai baisée, sans ménagement. À ce stade, rien n’aurait pu m’arrêter. Je lui ai claqué le cul à plusieurs reprises, je l’ai traitée de garce et de salope, chacun de mes coups de boutoir la secouait tout entière. Elle pleurait encore et couinait comme une truie. Ça a duré une éternité ou peut-être guère plus de quelques minutes. Quand je l’ai senti toute molle et qu’elle s’est mise à murmurer« Viens ! viens ! », j’ai sorti ma queue et j’ai aspergé ses fesses de foutre. Puis je suis retombé comme un mort à ses côtés, essayant juste de rester en vie en respirant.
Ensuite nous avons beaucoup parlé, d’elle, de ses espoirs, de mes études, du monde tel qu’il est. Nous avons refait l’amour lentement et tendrement. Je la pénétrais et la cascade bondissait, je la pénétrais et le soleil disparaissait aussi lentement que ma queue dans sa fente, je la pénétrais et les étoiles préparaient leur show. J’éjaculais sur son ventre quand une chouette annonça le début de la nuit.
Nous avons parlé encore et elle a voulu prendre ma queue dans sa bouche. Elle le voulait très fort, disait-elle. Je crois que c’était une manière de me remercier, ce qui était ridicule. J’avais eu cette image d’une femme qui osait tout, forte, libre et ce n’était qu’une petite fille triste. Elle me lécha longuement en me regardant de ses yeux devenus doux puis elle m’avala le gland comme un suppositoire. ...
... Elle m’aspirait en elle comme si elle avait voulu me vider de l’intérieur. C’était bon, plus que bon, meilleur que ça, je n’ai pas les mots et en le racontant je bande encore. Pourtant, tout à l’heure, sous les étoiles au fond des bois, elle m’a vidé les couilles de tout ce que je pouvais avoir accumulé au cours de la semaine. Elle a tout avalé, bien léché partout pour être sûre qu’il ne reste rien.
Après, quand on a fini par repartir, on arrivait à son scooter, elle m’a dit :
— Je veux que tu gardes ce souvenir-là de moi, celui d’une fille qui t’a sucé comme jamais tu ne l’avais été. Et je ne veux plus jamais te voir. Si tu dois repartir, si tu dois en aimer une autre, épargne-moi et évite-moi toute la semaine. Je ne veux plus jamais te voir.
Je n’ai pas répondu. Je suis nul en réponse. Je lui ai serré la main que je tenais et j’ai embrassé sa joue. Ce n’était pas suffisant. Puis, je me suis serré contre elle sur le scooter. À l’est, la nuit était déjà moins noire et je m’endormais contre son épaule.
Dimanche
Jour sans. Je me suis réveillé à midi et même alors je n’avais pas envie de me lever. J’étais épuisé. J’ai fait juste une virée à la cuisine, pas de Suzanne, j’ai pris un paquet de biscuits, une tasse de café et je suis remonté dans mon lit. Gary Moore dans les écouteurs, toujours le même roman qui n’avançait pas, l’après-midi est passé sans que je m’en rende compte.
Suzanne a fini par frapper à ma porte. Je n’avais pas encore répondu qu’elle entrait ...