1. Le facteur - semaine 2


    Datte: 27/03/2024, Catégories: fh, fplusag, fagée, jeunes, gros(ses), grosseins, groscul, bain, campagne, Oral pénétratio, journal, occasion, Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe

    ... prénom, maintenant que c’est arrivé) s’activait devant sa cuisinière.
    
    — Je ne comprends pas ce qui t’inquiète, mon petit. Ce sont juste des rapports normaux entre un homme célibataire et une femme célibataire. Tiens, regarde.
    
    En disant cela, elle avait relevé sa grande jupe à l’arrière et avait coincé le tissu dans sa ceinture. Je voyais donc ses énormes cuisses pleines de cellulite et ses fesses débordant de chair. En cuisinant, elle se trémoussait un peu et une onde parcourait ce derrière spectaculaire, sa chair se mouvant comme les vagues sur la mer. Elle se cambrait puis se redressait, se cambrait à nouveau. J’étais hypnotisé.
    
    — Je sais ce qu’il te faut, disait-elle en cassant les œufs dans la poêle chaude. Et j’en ai envie aussi. Tu es amoureux d’une petite de ton âge, je n’en doute pas et je ne t’attire pas plus que ça. Mais je peux te faire du bien, tu le sais et tu es là pour ça. Alors ne te stresse pas à propos de moi, cela n’en vaut pas la peine. Voilà, je baisse le gaz et tes œufs vont cuire tout doucement. Nous avons tout notre temps. Viens, maintenant.
    
    Et elle revint vers moi, enleva son grand teeshirt. Ses seins étaient encore plus gros que ce que j’avais imaginé et pendaient plus aussi. Elle approcha ses gros tétons sombres de mon visage et je cessai de résister. Je pris le sein droit à pleines mains et me mis le téton dans la bouche comme si c’était le repas annoncé. Je la regardais, elle avait les yeux fermés. Je changeai de nichon et bouffai le ...
    ... gauche. Je la mordis un peu et elle ne se plaignit pas.
    
    Puis elle me retira le biberon de la bouche et s’installa à moitié vautrée sur la table, le cul bien relevé tendu dans ma direction.
    
    — Baise-moi, mon chéri, dit-elle simplement.
    
    Je n’hésitai plus. Je baissai mon pantalon et glissai ma bite dure entre ses grosses miches molles. Mon gland glissa le long de sa raie avant de s’enfoncer dans une fournaise humide. Depuis une semaine, ce con n’attendait que moi, c’était évident. Je fermai les yeux et m’enfonçai d’un grand coup de reins. C’était si facile. Pourquoi avais-je tant attendu ?
    
    Je me mis à la baiser de toute ma puissance. Je me voulais fort parce qu’elle était grosse et je parvenais effectivement à ébranler toute cette masse, à claquer mon ventre violemment contre ses fesses, en cadence, flap flap flap, à m’immerger jusqu’à la garde dans ce cratère en fusion. Mais si je sentais son liquide bouillant tout autour de mon engin, je ne sentais pas les parois, elle était très large et je me demandais quel effet ça lui faisait de m’avoir en elle. Je me posais la question depuis le début, pourquoi veut-elle absolument que je la saute, et je me la posais encore en pleine action. Ce qui nuisait à mon efficacité. Je me sentais toujours dur, puissant mais je n’approchais pas de l’orgasme, elle non plus probablement et je commençais à transpirer et à penser à changer de position.
    
    — Vas-y mon petit ! cria-t-elle à ce moment. Prends-moi bien ! Plus fort, oui, encore ...
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