Le facteur - semaine 2
Datte: 27/03/2024,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
jeunes,
gros(ses),
grosseins,
groscul,
bain,
campagne,
Oral
pénétratio,
journal,
occasion,
Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe
... la tête. Et ne te fais pas d’illusion au sujet de mon sexe, l’eau m’a l’air si glaciale qu’il va rétrécir au point d’être quasi invisible. En tout cas, je vais me baigner et toi, tu fais ce que tu veux.
Je me suis déshabillé et je suis entré dans l’eau. Elle me suivait bien sûr des yeux mais je n’ai pas tourné la tête vers elle, je sais que les filles aiment bien regarder mes fesses musclées. Je rentrai doucement dans l’eau fraîche, aspergeant petit à petit ma peau brûlante. J’avançai vers la cascade sans me presser ; j’espérais qu’elle allait me rejoindre avant que j’y arrive. Il y a eu des bruits d’eau par derrière et elle s’est collée à moi, sa peau mouillée contre mon dos sec. J’ai hurlé, et me suis laissé tomber dans l’eau, l’entraînant avec moi. Nous avons barboté un moment avant de nous retrouver dans les bras l’un de l’autre, enlacés. Je l’ai embrassée et elle m’a embrassé et j’ai bien vu qu’elle aimait ça. Nous étions à genoux avec de l’eau jusqu’au ventre. J’ai senti sa main qui jouait avec ma queue.
— C’est vrai qu’il est minuscule, dit-elle en riant. Tu es vraiment handicapé.
Je lui ai sauté dessus et l’ai renversée dans l’eau. Puis je me suis sauvé comme si j’avais peur qu’elle m’attrape et nous avons joué encore un long moment à nous poursuivre, à rire et à nous embrasser. On a fini sous la cascade, comme avec Suzanne. Sidonie a fermé les yeux et laissé l’eau couler sur son visage. J’ai pu en profiter pour la regarder tranquillement. Elle était ...
... vraiment grosse, avec un ventre mou et des cuisses qui se touchaient. Mais ses deux gros seins ne tombaient pas et ils avaient fière allure, avec leurs grandes aréoles brunes et leurs tétons gros comme des dragées. Son pubis était presque rasé et sa chatte était appétissante. Je lui ai pris la main et je lui ai dit :
— Viens, on va se sécher.
Curieusement, elle était devenue obéissante et elle me suivit jusqu’à la tenture indienne où je pris une serviette pour la frictionner. Elle se laissa faire et ce fut très agréable de l’envelopper. Plus le temps passait et plus je devenais mal à l’aise parce qu’elle me plaisait vraiment et que mon projet initial de la sauter et basta me semblait assez indigne. Elle a voulu m’essuyer à son tour et je me suis laissé faire. Elle a insisté sur ma poitrine, sur mes fesses et pour finir, elle a pris ma bite dans sa main, avec un petit bout de serviette comme prétexte et elle s’est mise à la caresser. J’ai dû lui demander d’arrêter parce qu’elle me faisait trop d’effet.
— Je peux te parler, maintenant ? lui ai-je demandé doucement.
— Je ne sais pas. J’ai peur de ce que tu penses.
— C’est pourtant mieux de savoir, non ? Sido, tu es une fille formidable, et désirable. Tu n’es pas un tas de saindoux, tu es une jeune femme avec des formes qui rendent les hommes dingues et parfois ils deviennent méchants quand ils sont tiraillés entre leur désir et les stéréotypes sociaux. J’ai envie de toi. Pourtant, je ne veux pas te mentir, je ne suis pas ...