1. Le facteur - semaine 2


    Datte: 27/03/2024, Catégories: fh, fplusag, fagée, jeunes, gros(ses), grosseins, groscul, bain, campagne, Oral pénétratio, journal, occasion, Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe

    ... amoureux de toi. J’en aime une autre qui est quelque part mais pas ici. Je n’aurais pas l’impression de la trahir si je te faisais l’amour mais j’aurais vraiment cette impression si je te disais que je t’aime. Tu es trop bien pour que je me moque de toi.
    — C’est toujours la même histoire. Tu vois pourquoi j’avais peur ? Elle est comment l’autre ? Elle est grosse ?
    — Je ne veux pas en parler, je veux qu’on parle de nous, ici et maintenant.
    — Ici et maintenant, tu as une grosse bite. Elle n’est plus du tout ridicule. Est-ce que je peux jouer avec ? Est-ce que j’ai le droit d’être amoureuse de toi et de faire comme si tu étais mon homme, ici et maintenant, pendant une heure ? Et après tu repartiras vers une autre et je serai malheureuse mais au moins, j’en aurai profité un peu.
    — Oh Sidonie ! ai-je dit comme un nul et je l’ai embrassée.
    
    Pendant le baiser, elle a repris ma queue dans sa main et elle a recommencé à me masturber. Elle savait bien faire. Je pensais à Victor, le gros paysan qui l’avait accompagnée au cinéma. Elle devait le branler et le sucer aussi et il n’était certainement pas le premier. Cette fille avait une volonté farouche et comme elle voulait un homme, elle était prête à tout pour réussir. J’ai décidé que c’était un peu à son tour d’être la reine du moment. Je l’ai renversée sur la tenture et je lui ai demandé de se laisser faire. Elle n’a rien dit et elle est devenue comme une poupée de chiffon. J’ai joué avec ses seins, je les ai pétris, ils ...
    ... avaient la consistance de la pâte à pain. Je les ai tétés aussi, et un peu mordu, l’un après l’autre. Pendant ce temps, j’ai empoigné sa chatte à pleine main et je l’ai malaxée à son tour. Elle était mouillée quand j’ai introduit mes doigts dans sa fente et ce n’était pas l’eau de la rivière qui coulait de sa source. Ma bouche a descendu le long de son ventre et j’ai fini la tête entre ses cuisses qu’elle avait écartées. Je l’ai dégustée et elle avait un goût excellent. Je me suis mis à m’occuper de son clitoris avec ma langue, j’ai une grosse langue de chien et je dressai son clito en même temps que je la lapai. Elle ne disait rien, je ne l’entendais même pas respirer et je voulais l’entendre jouir alors j’insistais, encore et encore, au point d’en avoir mal à la langue. En même temps mes mains se promenaient sur elle, empoignaient ses hanches, retrouvaient ses seins, se glissaient le long de sa raie jusqu’à son petit œillet.
    
    Finalement, elle n’a pas pu tenir et elle s’est mise à crier de plaisir, puis à pleurer.
    
    — Pourquoi tu me fais ça ? disait-elle à travers ses larmes. Je n’ai pas mérité ! C’est trop bon, tu ne peux pas me faire ça, les autres ne me font jamais jouir comme ça ! Je ne l’ai pas mérité !
    
    Alors je l’ai empoignée et je l’ai retournée sur le ventre. J’ai rehaussé son cul pour qu’il soit dans la meilleure position et j’ai enfilé mon pieu dans sa chair poisseuse. Il s’enfonça avec facilité, comme une anguille entre les pierres.
    
    — Voilà, je lui ai dit. ...