Le facteur - semaine 2
Datte: 27/03/2024,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
jeunes,
gros(ses),
grosseins,
groscul,
bain,
campagne,
Oral
pénétratio,
journal,
occasion,
Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe
... de venir faire ta BA de la semaine en embrassant une pauvre grosse ? Idiote en plus parce qu’elle tombe amoureuse du premier venu comme une gamine.
— Vu l’accueil, je me demande peut-être ce que je fais là. Mais avant cette scène, je savais ce que je désirais en venant : retrouver une amie, dynamique, drôle et qui embrasse délicieusement. J’étais sûr que cette amie aurait une idée enthousiasmante pour passer l’après-midi et qu’on aurait le temps de faire mieux connaissance.
— Arrête, j’ai honte. Tu veux pas retourner sur le palier et qu’on recommence tout à zéro ?
— Non. On recommence ici. Tu veux un mouchoir ?
— Non, ça va aller. Assieds-toi. J’ai pas d’idée, Antoine. J’étais sûre que tu n’allais pas venir. Tu veux une bière ? j’en ai plein le frigo mais je n’ai que ça.
— Non merci. Trop tôt. Vu la chaleur, on pourrait aller se baigner quelque part. Tu as une voiture ?
— Non, j’ai un scooter. Mais il est hors de question que j’aille à la plage me mettre en maillot avec ma graisse qui déborde de partout à côté de toutes les minettes du canton que tu vas reluquer en bavant.
— Ah. Alors on peut aller se baigner dans un endroit où il n’y a personne et tu te baigneras sans maillot.
— Et tu veux bien ?
— Je veux bien quoi ?
— Aller te baigner avec la grosse dans un endroit caché pour que personne ne la voit.
— Sido, je veux juste un endroit où on soit ensemble et tranquilles, toi et moi.
— D’accord mais tu ne me baiseras pas.
— Pas si tu ne veux pas, c’est ...
... certain.
— Je ne veux pas parce que je suis trop moche. Promets.
— Bien sûr. Promis.
— On peut aller à la petite cascade, c’est à l’ombre, du coup il n’y a jamais personne. Les pétasses ne pensent qu’à bronzer et les mecs suivent les pétasses.
Et nous sommes montés sur son scooter. Elle avait insisté pour que je prenne son casque, elle voulait même que je conduise mais je lui ai dit que je n’avais appris. Je me suis installé derrière, tout contre son dos et ses grosse fesses chaudes. J’ai serré mes mains autour de son ventre rond et on est parti. J’ai passé un bon moment, on avait un peu de fraîcheur avec le vent de la vitesse et j’ai profité du trajet pour la tripoter un peu et elle m’a laissé faire.
Je ne lui ai pas dit que j’étais déjà venu là avec ma logeuse. Pourtant, nous nous sommes installés au même endroit, sur une vieille tenture indienne. Sidonie s’est allongée et est restée là sans rien faire.
— Tu ne veux pas aller dans l’eau ? Moi, je crève de chaud, ai-je dit en enlevant mon teeshirt.
— Je n’ai plus le courage. De me déshabiller. C’est compliqué, tu sais. Si tu bandes, ça va me dégoûter que tu bandes pour un gros tas de saindoux et si tu ne bandes pas, je serais la plus malheureuse des femmes.
— Écoute, je crois que tu te montes la tête pour des conneries. Quand je t’ai vu dans ton restau, tu avais des tenues suffisamment provoquantes pour que je sache à quoi m’en tenir, non ? Pourtant, je suis là. On s’entend bien, on peut s’amuser ensemble sans se prendre ...