1. Le facteur - semaine 2


    Datte: 27/03/2024, Catégories: fh, fplusag, fagée, jeunes, gros(ses), grosseins, groscul, bain, campagne, Oral pénétratio, journal, occasion, Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe

    ... portait qu’un petit kimono qui ne cachait pas grand-chose, elle était tout ébouriffée avec des petits yeux gonflés de sommeil.
    
    — Ah c’est toi, a-t-elle simplement dit en faisant demi-tour et en laissant la porte ouverte.
    
    Je l’ai suivie jusque dans le grand séjour où elle s’est jetée sur le canapé. Le kimono ne cachant rien, je vis à sa touffe que c’était Célia.
    
    — Tu nous fais du thé ? a-t-elle dit d’une voix épuisée. Alice ! C’est Antoine !
    
    J’ai rejoint la cuisine et trouvé la bouilloire et les sachets de thé. De là, je voyais toujours Célia vautrée avec la chatte à l’air et je devais me retenir pour ne pas la rejoindre sur le canapé. Alice la lisse ne se manifestait pas.
    
    — On a fait la fête, m’expliqua Célia pendant que j’amenais thé et tasses sur la table basse devant elle. On était avec deux norvégiens en vacances. Ils boivent trop ces garçons. On a essayé de suivre le rythme des cocktails mais on a vite été bourrées. Après ils nous ont baisées dans tous les sens et je n’en ai même pas profité. Je ne me rappelle presque rien. Tout ce que je sais c’est que j’ai mal au crâne et au cul.
    — Vous n’êtes pas raisonnables.
    — C’est pour me dire ça que tu es passé ?
    — Non. Je croyais vous trouver en pleine forme et vous poser des questions sur votre idée de partager un Ken.
    — Alice ! Antoine veut savoir ce qu’on va lui faire à sa prochaine visite !
    
    Nous avons guetté une réponse ou un mouvement mais Alice ne semblait pas émerger.
    
    — Va lui faire la surprise, ...
    ... me dit Célia. Et laisse-moi comater tranquille. C’est la porte à droite, dans le couloir.
    
    J’ai suivi ses indications et ouvert la porte avec circonspection. Alice dormait. Elle était nue, en travers du lit et j’avais une vue magnifique sur sa petite fente bien lisse. J’ai essayé de tousser un peu mais elle ne s’est pas réveillée. Je bandais mais il n’était pas question que je profite du sommeil d’une fille pour l’enfiler. J’ai donc fait demi-tour sans bruit, je suis sorti de chez elles et j’ai refermé la porte.
    
    Le reste de la tournée a été courte et ennuyeuse. Suzanne n’était pas là quand je suis rentré. Il y avait un petit mot sur la table de la cuisine :
    
    J’ai pris une douche et envoyé un SMS à Sidonie pour savoir si notre rendez-vous tenait toujours. J’en ai reçu un autre en réponse :
    
    Je me suis donc précipité chez elle. Elle habitait un petit appartement dans une grande maison bourgeoise derrière l’église. J’ai frappé et elle m’a ouvert. Avant que je dise quoi que ce soit, elle m’a sauté au cou pour m’embrasser, puis elle m’a repoussé et elle est allée se cacher dans un grand fauteuil moche qui trônait presqu’au centre de son unique petite pièce.
    
    Elle avait la tête cachée dans les mains et elle reniflait comme si elle était en train de pleurer.
    
    — Ouh ouh Sido, c’est moi, ai-je fait bêtement.
    — Je ne veux pas de ta pitié, Antoine ! a-t-elle alors crié en me regardant d’un œil noir. Pourquoi tu es ici ? C’est ton week-end, tu n’as rien de mieux à faire que ...
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