Le facteur - semaine 2
Datte: 27/03/2024,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
jeunes,
gros(ses),
grosseins,
groscul,
bain,
campagne,
Oral
pénétratio,
journal,
occasion,
Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe
... étions aussi silencieux l’un que l’autre.
— Antoine, si je te dis que j’aime Stéphane mais que j’ai envie de t’embrasser, qu’est-ce que tu vas penser de moi ?
— Rien, je ne vais rien penser. Je vais t’embrasser.
Et j’ai joint le geste à la parole. J’ai pris son menton entre mes doigts et j’ai collé ma bouche sur la sienne, sur ses lèvres délicieusement chaudes et moelleuses. Je l’ai embrassée à pleine bouche tandis qu’elle me caressait la nuque. Elle s’offrait, me laissant envahir sa bouche avec ma langue. Une de mes mains se posa sur sa cuisse et elle écarta légèrement les jambes. Elle me laissa remonter sous la jupe, lentement mais sûrement, tandis que nous nous embrassions toujours. Quand mes doigts touchèrent sa culotte, ils la trouvèrent mouillée. C’est alors qu’elle serra les cuisses sur ma main comme un étau et qu’elle se détacha de ma bouche.
— Tu me fais jouir, petit salaud, me murmura-t-elle. Dès que je t’ai vu l’autre jour, j’ai su que tu me ferais cet effet-là. Mais je ne vais pas te laisser me baiser dans ma voiture, je me connais, je ne me le pardonnerais pas.
— Tu n’as pas un plaid, dans ton coffre ? dis-je aussi essoufflé qu’elle. On irait s’allonger sous les étoiles.
— Non, je suis désolée de t’avoir allumé mais je vais te ramener et rentrer. Je veux réfléchir à tout ça. C’est peut-être juste l’effet du cannabis, ça me donne toujours envie de baiser.
— OK, Sophie. De toute manière, je ne suis pas très en forme, je me lève tous les jours à cinq ...
... heures.
À l’arrivée sur la place, elle m’avait laissé descendre de la voiture sans une bise mais on avait échangé nos téléphones et j’espérais vraiment la revoir. Faire l’amour avec elle, ce serait comme monter en grade, passer de la catégorie mignon à la catégorie Casanova. J’avais aussi donné mon numéro à la petite Marie, et je ne dirais pas non à un nouveau rendez-vous avec elle. Mais il était minuit, et rien de Mathilde. Il fallait bien que je m’occupe l’esprit en pensant à d’autres.
Samedi
Le dernier jour de la semaine. Ma journée a encore été pleine de péripéties mais je n’ai eu aucune nouvelle ni de Mathilde, ni de Sophie. J’ai pourtant regardé mon téléphone toutes les cinq minutes. Enfin, sauf pendant l’après-midi torride que je vais raconter de ce pas.
D’abord, départ au ralenti, calme plat avec Suzanne qui n’avait aucune raison de se lever à l’aube et ce matin, Martin n’avait rien à me dire. Je me suis arrêtée chez Mélie pour boire le café. C’était tranquille et doux. Je lui ai promis à nouveau de passer un jour pour jouer à son jeu de : je regarde et je décris.
J’avais une lettre pour la vieille voisine des jumelles et cela m’a rendu anxieux pendant un moment mais je l’ai mise dans sa boîte sans voir trace des filles infernales. Pourtant, en m’éloignant, je me suis rendu compte que j’étais un peu déçu. Alors j’ai fait demi-tour et je suis allé frapper chez elles. J’ai attendu un grand moment et finalement, l’une d’entre elle est venue ouvrir. Elle ne ...