Le facteur - semaine 2
Datte: 27/03/2024,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
jeunes,
gros(ses),
grosseins,
groscul,
bain,
campagne,
Oral
pénétratio,
journal,
occasion,
Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe
... petites routes du département.
Comme passager, j’avais tout loisir d’observer mon chauffeur et de profiter de ses charmes. Elle portait une jupe en jean et un chemisier léger, ses cheveux longs et sombres attachés par un élastique. Ce n’était pas une jeunette comme moi mais une vraie femme et cela m’impressionnait. En conduisant, sa jupe remontait sur ses cuisses et sa peau avait un velouté attirant. Sa poitrine était généreuse et les tétons pointaient fièrement sous le tissu léger du chemisier.
— Ça va ? l’inspection est terminée ? me demanda-t-elle sans quitter la route des yeux.
— Oh, marmonnai-je en rougissant, désolé. Mais ta beauté attire le regard.
— Désolée aussi mais autant te prévenir, je suis en couple et j’aime mon copain.
— Pas de problème. Je n’envisageais pas de t’épouser.
— Ah ah ! dit-elle en faisant semblant de rire.
Bon, c’était plutôt mal parti. Pour changer de sujet, j’entamai une conversation sur son association et elle accrocha tout de suite. Elle avait envie d’en parler, d’expliquer la difficulté d’amener la culture dans ces zones rurales où les gens vivaient avec la télé. Son enthousiasme la rendait plus belle encore avec sa jolie bouche qui s’animait et la lumière qui s’éclairait dans son regard.
À ce rythme, nous arrivâmes vite à destination. La réunion se tenait chez un couple d’une quarantaine d’années. Il y avait aussi un grand barbu et Marie, la petite blonde exubérante qui m’avait abordé au supermarché. Ce serait fastidieux de ...
... raconter toute la réunion mais nous avons parlé en buvant des bières, puis en fumant un joint jusqu’à une heure avancée de la soirée. Il se trouve que j’ai pas mal parlé parce que Marie tenait souvent à avoir mon avis et elle m’écoutait comme un public conquis parler des cinéastes que j’avais particulièrement étudié dans le cadre de mon master, Lang, Chaplin et Renoir. Je crois que je lui plaisais et qu’elle était célibataire.
Sur la fin, quand ils ont parlé des détails pratiques de leur prochaine soirée, j’ai un peu décroché. J’étais épuisé après ma longue journée et j’avais envie de rentrer.
— Dis, Sophie, a dit Marie qui m’observait, si tu veux rester un peu, je peux ramener Antoine. Je vais rentrer de toute façon.
— Non, non, a répondu celle-ci, je vais rentrer aussi. Pas la peine que tu fasses un détour.
J’ai été un peu déçu, je l’avoue, parce que les gros seins de cette petite Marie m’avaient mobilisé l’esprit tout au long de la soirée et elle semblait attirée par moi comme une abeille par une fleur. Et nous sommes repartis, la belle Sophie et moi, dans sa petite voiture. Il était minuit passé et le trajet dans la nuit n’offrait plus aucun intérêt. Je ne voyais même plus ses jambes et elle semblait perdue dans ses pensées. Jusqu’à ce qu’elle mette son clignotant et s’arrête en rase campagne sur un petit terre-plein au bord de la route. Elle se gara, coupa le contact et éteignit les phares. Nous étions dans le noir, aucune voiture ne passait sur la route. Nous ...