Le facteur - semaine 2
Datte: 27/03/2024,
Catégories:
fh,
fplusag,
fagée,
jeunes,
gros(ses),
grosseins,
groscul,
bain,
campagne,
Oral
pénétratio,
journal,
occasion,
Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe
... me gênait. Elle avait posé ses deux mains bien à plat sur ma poitrine et elle bougeait doucement sur moi, ses fesses molles frottant mes cuisses. J’avais tellement envie de jouir que j’aurais pu l’attirer à moi, la retourner et la baiser avec toute ma force mais je ne fis rien et c’était meilleur encore, cette caresse lente de son vagin autour de mon gland. Elle se pencha un peu plus en avant et laissa traîner ses seins sur mon visage. J’essayais de happer un téton au passage mais toujours elle le balançait et je n’y parvenais pas. C’était une délicieuse torture.
Elle se mit alors à monter et descendre sur mon pieu de chair, lentement, avec une grande amplitude et à chaque fois qu’elle retombait sur mon ventre, elle gémissait comme si c’était douloureux mais je crois que c’était le plaisir qui montait en elle.
— Tu es un bel étalon, se mit-elle à dire d’une voix rauque, je te veux depuis le premier jour. Je n’ai aucun droit de te baiser, je suis bien trop vieille pour te mériter mais puisque tu me laisses jouer avec toi, j’en profite. Tu as un corps magnifique, tu as une queue magnifique, je n’aurais jamais rien eu d’aussi beau dans ma vie, je te veux, je te veux, oh comme je te veux, petit salaud ! Oh mon ange, tu me fais jouir !
Elle avait accéléré le mouvement, elle s’essoufflait trop pour continuer à parler alors elle se mit à gémir, à couiner tandis que son cul sur mes cuisses faisait flap à chaque fois qu’elle retombait sur moi, m’enfonçant en elle jusqu’à ...
... la garde. Et puis d’un coup, je sentis tout son jus couler sur mon ventre et mes cuisses, le plaisir la vidait, un son de bête blessée s’échappa de sa bouche, long, aigu et continu, avant qu’elle retombe sur moi comme si elle était morte.
Alors je décidai de la prendre à mon tour. J’empoignai ses fesses et je nous fis faire un demi-tour sur le lit. J’étais sur elle maintenant et elle était toute petite. Je me mis aussitôt à la baiser avec toute la force de l’interminable attente de ce moment. Je ne prenais aucune précaution et la secouais dans tous les sens, ma bite allant et venant en elle comme un piston furieux. Cela ne dura que quelques minutes et j’éjaculai un torrent de foutre.
Je restai immobile quelques instants, le temps de savoir où nous en étions puis je basculai à ses côtés. Nous étions toujours dans le noir, le drap avait disparu je ne sais où et je l’entendais qui respirait fort. Soudain, elle se mit à pleurer. Je la pris dans mes bras, embrassai son front, caressais ses cheveux trempés de sueur.« Chut, dis-je, tout va bien » et bientôt elle se calma.
— Antoine, dit-elle alors, tu m’as donné un plaisir que je n’avais jamais ressenti. J’ai quarante-huit ans, Antoine, et cela ne m’était jamais arrivé de jouir comme ça. Bien sûr si je m’écoutais, je voudrais te garder pour moi, rien que pour moi mais je sais que ce n’est pas possible. Alors je te demande encore une chose : ne parle plus jamais de cette nuit, ni demain, ni jamais. Je voudrais que tu fasses ...