1. Le facteur - semaine 2


    Datte: 27/03/2024, Catégories: fh, fplusag, fagée, jeunes, gros(ses), grosseins, groscul, bain, campagne, Oral pénétratio, journal, occasion, Auteur: Amateur de Blues, Source: Revebebe

    ... baiser dura aussi longtemps que le premier ; Sido avait fermé les yeux et elle me laissait tripoter son corps.
    
    Nous nous arrêtâmes lorsque le ding de la porte se fit entendre. Elle se sépara de moi avec nonchalance et se tourna vers le couple qui venait d’entrer comme si j’étais un ustensile dont elle n’avait plus besoin. Ces gens, visiblement des touristes, demandèrent des hot-dogs et des frites et Sidonie dut se mettre au travail. Je restai à côté d’elle, les bras ballants jusqu’à ce qu’elle me dise de m’en aller.
    
    — Tu me gênes, Antoine, dit-elle. Nous n’irons pas plus loin aujourd’hui mais si tu es toujours partant samedi après-midi, je ne travaille pas. On pourrait se retrouver et reparler de tout ça.
    
    Retour à la maison. Suzanne était partie et toutes les pièces étaient vides. Son parfum délicat persistait encore dans la salle de bains. Une évidence me sauta aux yeux ; quand on est marié, le parfum de sa femme dans la salle de bains est un des plaisirs de la vie. J’ai trouvé une culotte sale sans la panière où elle les mettait et je me suis masturbé sous la douche en la reniflant. Je le vivais mal, comme une sorte de déchéance. Repas rapide, retour dans ma chambre.
    
    Je me suis mis au lit assez tôt, il faisait à peine nuit. Pourtant, je me suis mis à lire (toujours Roberto Bolaño) et il était près de minuit que je lisais encore. C’est alors qu’on a frappé à la porte, de tous petits coups discrets. J’étais nu sous le drap, la fenêtre ouverte et j’ai dit ...
    ... simplement« Oui ? ». Suzanne a passé la tête en entrouvrant la porte.
    
    — Je viens de rentrer. Je peux venir te voir un peu ? S’il te plaît.
    — Bien sûr.
    — Oui, mais … Je suis toute nue, tu peux éteindre la lumière ?
    
    J’ai éteint. Que faire ou dire d’autre ? Un lampadaire sur la place éclairait légèrement la chambre et j’ai vu la silhouette de ma logeuse se glisser sans bruit jusqu’à mon lit. Elle s’est mise sous le drap et j’ai senti tout de suite son corps chaud contre le mien, sa tête sur mon épaule et sa bouche si près de mon oreille.
    
    — J’étais chez Martin, murmura-t-elle. Nous avons fait l’amour, je crois qu’il était content mais il ne m’a pas fait jouir. Si tu promets de ne rien dire et de ne rien faire, je veux le faire avec toi.
    
    Je sentis à nouveau son parfum, son haleine chaude contre ma joue. Sa main s’était aventurée sous le drap et elle tenait déjà ma bite dans sa main. Elle me caressa un moment, m’embrassant l’épaule, la poitrine et le ventre. Puis elle plongea sous le drap et me prit dans sa bouche. Elle avait dit que je ne devais rien faire et je restai aussi immobile que possible. C’était meilleur que tout ce que j’avais pu imaginer avec elle.
    
    Quand elle m’estima assez raide, j’avais l’impression d’avoir la plus grosse bite du monde, elle me chevaucha comme une amazone experte. Son con était brûlant, confortable, je la sentais bien tout autour de moi. Je pensais au sperme de Martin qu’elle avait peut-être encore en elle mais cela m’excitait plus que cela ...
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