1. Le substitut


    Datte: 21/03/2024, Catégories: fh, entreseins, Oral pénétratio, fsodo, mélo, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... de légers gémissements, je lui rends son baiser en y prenant soudain goût et ma virilité enfle contre sa cuisse.
    
    — Viens, on ne va pas faire ça sur la terrasse…
    
    Elle me conduit directement au grenier où Hubert avait aménagé une chambre d’amis. Pas question de profaner la couche nuptiale. À peine les escaliers gravis, Mathilde sème ses vêtements sur le plancher et s’attaque adroitement aux miens. Son corps a beau être mou, il n’en est pas moins remarquable. Hanches galbées, taille fine malgré un petit ventre légèrement formé, seins lourds et généreux, peau lisse et laiteuse comme celle d’une rousse qui n’a jamais vu le soleil. Sans un mot, elle s’attaque à genoux à mon érection avec la gourmandise d’une petite fille sur une grosse sucette. Madone ! Quelle voracité et quelle technique ! À ma connaissance, tout y est, un vrai travail de pro, et je ne vais pas pouvoir tenir longtemps. Mais la fine mouche le sait bien, le sent bien. Elle me repousse sur le lit et m’enfourche aussi prestement qu’un flic sa moto pour poursuivre un excès de vitesse. Je n’ai qu’à me laisser faire, palpant et pelotant au hasard fesses et nichons. Heureusement qu’elle n’est pas plus musclée, car c’est une autre Mathilde qui se déchaîne sur ma queue, une véritable tornade qui me vrille et me pilonne comme une furie. Je résiste autant que je peux, aidé en cela par quelques transitions douloureuses qui retardent l’orgasme. C’est elle qui bascule sur le dos, m’entraînant sans déjanter. Ses ongles ...
    ... acérés se plantent dans mon dos, ses talons dans mes fesses, m’intimant sans paroles de la défoncer sans ménagement. Je lâche donc les chevaux sans réserve et la pilonne sans égard à la recherche de mon seul plaisir. Ses cris et ses encouragements triviaux me vont droit à la libido et je ne tarde pas à m’épancher puissamment en elle.
    
    Décompression. Une rapide douche salutaire nous débarrasse de nos sueurs et miasmes mêlés, avant de nous retrouver à poil dans la cuisine pour siroter une citronnade fraîche. Repos ? Point du tout. La dame a toujours autant d’appétit et prend « la chose » en main. C’est ainsi que la cuisine se transforme en lupanar, la table en baisodrome où Mathilde, cuisses largement ouvertes, se fait enfiler, peloter et massacrer le clitoris avec délectation. De retour sur ses pieds, elle me tend ses fesses charnues pour une levrette endiablée, ses seins dilatés battant le tocsin à tout rompre. La table en a bougé d’un mètre, bloquée désormais par les placards. Seconde salve, orgasmes simultanés très violents. Je n’en peux plus et annonce mon départ.
    
    — Hé, tes fringues sont là-haut, dit-elle en levant l’index vers le plafond.
    
    Ben oui, c’est vrai, je ne vais pas partir à poil, ça ferait désordre. Coup de torchon entre ses cuisses, elle me précède dans l’escalier en tortillant lascivement ce beau cul que je viens de trousser. Moi j’ai plutôt les guiboles en flanelle. Je suis monté pour me rhabiller, je pensais qu’elle aussi. Pas du tout. Elle repique le ...
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