Le substitut
Datte: 21/03/2024,
Catégories:
fh,
entreseins,
Oral
pénétratio,
fsodo,
mélo,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... même scénario qu’il y a deux heures, à genoux, engloutissant mon dard ramolli, mais encore gonflé d’irritation.
— Ah non ! m’écrié-je, spontanément.
— Mpff… Non ? Alors tu préfères comme ça, peut-être…
Elle me coince la zigounette entre ses gros seins tout moelleux et me l’astique en laissant couler quelques filets de salive. Je dois reconnaître que c’est délicieux et que ce n’est pas ma chérie avec ses petits nichons qui peut en faire autant. Mais je n’en peux plus, elle devrait le sentir. Elle s’en rend bien compte, mais la coquine possède tous les coups les plus tordus. Elle me reprend en bouche, glisse une main entre mes cuisses et m’enfonce son majeur dans le fion pour aller agacer ma prostate. L’effet est immédiat, le derrick se redresse fièrement. Elle s’enfuit à quatre pattes sur le lit, écarte largement ses fesses en m’invitant :
— Encule-moi, j’adore ça.
Ça aussi, elle le sait. Quand l’homme est fatigué, que le vagin est détrempé, il faut une alternative pour stimuler le désir et le plaisir. L’entrée est un peu difficile, mais un peu de salive aide à la pénétration. Après, je n’ai encore qu’à me laisser faire. Le somptueux postérieur vient tout seul s’empaler et se défoncer sur mon dard, serré comme dans un étau tout chaud. La coquine va même jusqu’à attraper mes choses de la vie entre ses cuisses pour doper mon excitation, en profitant pour se ramoner le bouton. Un quart d’heure après, j’explose en elle et m’effondre sur le lit, désespérément lessivé ...
... par ce dernier effort.
Il me faudrait presque un déambulateur pour rejoindre ma bagnole. Crevé et piteux. Qu’est-ce que je vais dire à la femme de ma vie ? Tout ? Rien ? Que Mathilde est une incroyable baiseuse ? Pourquoi l’inquiéter alors que je suis sincèrement convaincu que je ne la quitterai pas pour cette veuve. Nous avons deux beaux enfants, je sais où je suis et avec qui je veux vieillir…
— Tu as l’air tout songeur, chéri…
— Moui… je pense à ce pauvre Hubert… si jeune… c’est terrible tout de même.
— Oui, ben c’est comme ma copine Caroline. Tu sais, son oncle avait un bouton sur le bras…
M’en fous, de Caroline. Oui, je pense à Hubert. Il a révélé la nature volcanique de Mathilde durant ces deux mois de colo et il est devenu addict au point de tout plaquer. Je suis prévenu. Dès la semaine prochaine, je mets fin à cette relation qui n’en est pas encore une. Avant qu’il soit trop tard. C’est dit. Et je passe la semaine à m’enfoncer ça dans la caboche.
Le mercredi arrivé, je vais chez Mathilde en répétant ce que je vais lui dire pour mettre un terme à cette situation. Quand j’arrive, elle m’attend derrière la porte qu’elle referme aussitôt au verrou avant de se jeter sur moi comme une lionne sur un gnou. Elle me dévore la bouche en premier pendant qu’elle m’arrache presque mes vêtements, son peignoir est déjà à terre. Quatre heures plus tard, je n’ai toujours pas placé mes phrases préparées, je suis encore plus rincé et je repars encore plus culpabilisé que la ...