1. Location


    Datte: 17/03/2024, Catégories: fh, complexe, caresses, Oral pénétratio, portrait, rencontre, Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe

    ... rondelle dans une abondante humidité. Amélie est écarlate, veines du cou et des tempes dilatées, bouche ouverte pour gober plus d’air. Je sens que je ne vais plus tarder et je le dis. Elle éclate alors en une prodigieuse tétanie qui d’un coup rabat ses jambes et soulève son corps, tendu, arqué, vibrant.
    
    Je sors promptement et les jets nacrés fusent sur sa poitrine, jusque sur son cou, sur son ventre et s’achèvent dans son astrakan. Je retombe lourdement sur elle, la privant de ma bouche de l’air qui lui manque encore. Nos sueurs et mon sperme collent nos deux bustes dans un contact total. Pas de commentaires inutiles, juste une couette à rabattre sur nous avant de glisser dans le sommeil, enlacés.
    
    Réveil tendre, toujours enlacés, incroyable comme nous avons les bonnes proportions à l’horizontale, son pubis contre mon sexe. Une odeur d’amour et de sperme rance flotte dans la chambre, nous décidons d’une douche commune qui se termine par ses bras autour de mon cou, ses courtes cuisses autour de mes hanches, son sexe embroché sur le mien. Tout ça parce qu’elle m’a dit, en contemplant mon pénis de nouveau érigé :
    
    — Je suppose qu’à ce moment, la dame doit prendre la queue du monsieur et lui donner du plaisir avec ses mains et sa bouche… Mais désolée, je ne sais pas faire, j’ai peur de te faire mal…
    
    En fonction de nos libertés, plutôt faibles et peu accordées, la période d’initiation dure plus de deux mois. Mais à l’issue, Amélie a tout le savoir-faire d’une maîtresse ...
    ... accomplie, malgré mes reproches sarcastiques :
    
    — J’avais entendu dire que les personnels de santé en général et les infirmières en particulier, avec leur connaissance du corps humain, étaient de sacrées coquines. C’est curieux qu’il faille tout t’apprendre.
    
    Un week-end, elle veut profiter de ma présence pour nettoyer le haut des placards de cuisine, endroit qu’elle ne peut pas atteindre habituellement. Je la hisse donc debout sur les placards du bas, plus profonds, mais bien vite sa culotte descend et je lui bouffe l’entre-fesses goulûment. L’histoire se termine sur la table de cuisine, où nous avons déjà quelques habitudes. Je constate encore une fois que, depuis qu’elle prend la pilule et que je peux me lâcher en elle, cette femme est extrêmement sensible du fond du vagin, prenant un second orgasme à chaque fois que mes jets de semence fouettent ses parois. Agréable particularité.
    
    Elle est heureuse, me dit-elle, de se sentir enfin femme, d’avoir accédé aux plaisirs du sexe, chose qui lui semblait définitivement interdite. Mais le complexe est toujours bien là, solidement ancré dans sa tête et indélébile. Et ce n’est pas la rencontre d’un copain, un jour que nous sortons au restaurant, qui arrange les choses. Ce crétin nous salue avec un sourire goguenard et trouve le moyen de me glisser à l’oreille :
    
    — Hé-hé ! Petite femme, petite bite !
    
    Il esquive mon coup de poing de justesse, mais elle comprend bien qu’elle est en cause dans cette brève altercation.
    
    — Tu ...
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