Location
Datte: 17/03/2024,
Catégories:
fh,
complexe,
caresses,
Oral
pénétratio,
portrait,
rencontre,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... dîner différent et un moment agréable qu’elle a l’air d’apprécier qui ne me déplaît pas, au contraire. Ce jour-là, pendant le café, elle met une compil des slows célèbres. Je ne sais pas ce qui me prend, moi qui n’aime pas danser, je lui demande :
— On danse ?
— Vous rigolez, on aurait du mal…
— Mais non, passez vos bras autour de mon cou.
Je la soulève à ma hauteur, croisant mes mains sous ses fesses. Elle rit d’abord, puis se laisse aller la tête sur mon épaule, serrée contre moi de tout son buste. Soudain :
— Eh ! Qu’est-ce que je sens ? Mais… Vous ne seriez pas un peu pervers ?
— Pervers ? En quoi ? Je suis désolé, c’est vrai, je bande.
— Un monstre vous fait de l’effet ?
— Quel monstre ? Vous êtes une femme, plutôt très jolie. Et je ne suis qu’un homme et vous me faites bander parce que j’ai envie de vous. Quoi de plus naturel ? Mais je ne suis pas un satyre, un violeur ou un taré de ce genre. Vous me dites d’arrêter, je me tire un point c’est tout. Et ça s’appelle un « râteau » !
— Je suis difforme et ce n’est pas normal. Vous devez avoir des goûts pervers.
— Vous aviez le choix entre perversion et pitié. C’est ni l’un ni l’autre. Différente, c’est vrai, vous êtes différente, mais pas difforme. Rien n’est laid en vous, même si vous ne répondez pas aux critères habituels.
— Je ne comprends pas comment on peut avoir envie de moi, dit-elle en se serrant plus fort. Faut être malade, je suis hideuse.
— Amélie, arrêtez avec ça, dis-je avec autorité en ...
... l’asseyant au bord de la table. Vous avez un visage d’ange, apparemment une jolie paire de nichons. Certes, vos jambes sont trop courtes, je suis d’accord. Et alors, qu’est-ce que ça enlève à votre personnalité, à votre charme ? En plus, dis-je en contemplant ses courtes pattes écartées gainées de nylon, prises à part vos jambes sont très harmonieuses et fonctionnelles. Pas de handicap, juste un gros complexe…
— Mouais, n’empêche que pour atteindre le haut des placards, ça le fait pas… et dans une foule, un concert par exemple, pas possible pour moi, je ne vois même pas les écrans.
— Peut-être, mais là, il n’y a pas d’écran géant. Ce soir, c’est un concert privé et on vous applaudit debout, dis-je en frottant mon excroissance pantalonnée sur son entrejambe. Ceci dit, je ne vous raconte pas de salades, le coup du grand amour. Je reconnais seulement avoir envie de vous sauter, c’est vrai. Rien de plus.
— Emmène-moi dans la chambre, chuchote-t-elle en s’agrippant à moi des bras et des jambes.
Je la pose debout au bout du lit, cette fois elle est plus grande que moi. Long baiser. Je l’effeuille petit à petit, un baiser, un vêtement, puis quand elle est nue, c’est à son tour. Dès que je suis nu, elle se pelotonne dans mes bras en soupirant très fort.
— C’est bon, hein ?
— Oh, inouï. Mieux que dans mes rêves.
Je l’embrasse encore et la dépose avec précaution sur le lit. La belle paire de seins aux tétons bien érigés ! J’embrasse, je suce, j’aspire, elle adore. Je lui caresse ...