1. Clinique Saint Roch 2


    Datte: 12/03/2024, Catégories: fh, fplusag, jeunes, médical, Oral dominatio, Auteur: Volovent, Source: Revebebe

    ... appréciait également nos galipettes, galipettes pour lesquelles elle était assez douée d’ailleurs. C’est avec elle que j’ai pratiqué pour la première fois la brouette thaïlandaise(la vraie), le petit pont, le lotus(ça, elle adore) et tant d’autres positions que nous inventions, sans savoir qu’elles existaient déjà depuis des millénaires. On testait même des trucs infaisables en riant comme des fous de nos échecs.
    
    Alors que s’était-il passé pendant ces deux mois ?
    
    — Raconte.
    — J’avais trouvé un contrat pour gagner un peu d’argent pour les fêtes, et puis j’ai prolongé de quelques semaines. Le fils du patron m’appréciait beaucoup, un peu trop d’ailleurs. Ça devenait malsain, je suis partie.
    
    Nous n’avons jamais su de quel contrat il s’agissait. Même Latifa a échoué.
    
    — Et vous, qu’avez-vous fait depuis deux mois ?
    — Sans toi, rien de bien intéressant.
    — Tu as bien dû me remplacer. Tu ne pourrais pas rester seul.
    — Bof ! Le vide intégral…
    — Il a quand même des rondeurs ton vide !
    — Latifa !
    
    Nous rions tous. Ça fait du bien. Je profite d’une sortie de Latifa pour l’embrasser tendrement.
    
    — Quand es-tu libre ?
    — Quand tu veux.
    — Demain soir chez toi ?
    — D’accord.
    — Je t’aime.
    — Faux cul.
    
    J’ai regagné mes pénates en planant. Sylvie ! La vie est belle.
    
    *
    
    * *
    
    Vendredi, la journée me semble longue, longue… Longue comme un jour sans pain. Je me force à plonger dans les dossiers, à préparer un week-end tranquille pour tout le monde. Mais je n’ai pas ...
    ... vraiment de cœur à l’ouvrage. J’ai croisé la surgé, l’air pincé :
    
    — Bonne nouvelle pour vous, Sylvie est de retour.
    — Ah, c’est bien, merci Mme la Surveillante Générale.
    
    19 h 30, j’arrive chez Sylvie avec quelques victuailles glanées de-ci de-là sur le chemin. Nous nous embrassons rapidement, puis nous dînons. Il nous a fallu refaire le monde au moins trois ou quatre fois avant de nous décider à faire l’amour. Avec elle je me sens bien. Nous restons un bon moment allongés sur le lit, nus et enlacés, avant de se décider. C’est elle qui a lancé le mouvement, attrapant ma queue et la branlant sans ménagement. Elle a fait brusquement remonter mon désir. J’ai couvert son corps de baisers, puis l’ai pénétrée doucement. Je suis resté longtemps en elle, bougeant à peine, avant de nous faire jouir en lui donnant quelques coups de boutoir.
    
    Soirée très calme finalement, des retrouvailles plus tendres que passionnées. Son côté zen qui déteint ? C’est curieux, il y a des femmes avec lesquelles j’ai envie de dormir et d’autres de baiser. Il n’y a qu’avec ma douce et tendre que j’ai envie des deux.
    
    — Alors, Jean, raconte un peu toi aussi. Quelles conquêtes depuis mon départ ?
    — Henriette.
    — Menteur(je ramasse un oreiller sur la tête) !
    — Je suis sorti avec Barbara.
    — Ah, oui, là ses rondeurs ont un volume certain.
    — Jalouse ?
    — Oui, un peu, j’avoue.
    — Mais pour les galipettes, elle ne t’arrive pas à la cheville.
    — Avec un prof’ comme toi, elle va vite progresser.
    — Ça, ...