Clinique Saint Roch 2
Datte: 12/03/2024,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
médical,
Oral
dominatio,
Auteur: Volovent, Source: Revebebe
... sous la douche où nous nous aspergeons et nous frottons encore l’un contre l’autre. Puis je me rhabille, récupère mon ivoire et pars retrouver la ville, le travail, les petites misères. Quel moment grandiose ! Je suis heureux et j’espère qu’elle l’est aussi. J’ai l’impression d’avoir grandi sous sa directive, parce qu’en réalité, sous ses airs de soumise, c’est bien elle qui menait le bal. Je souris et pars à grandes enjambées en martelant le trottoir.
Je ne devais la revoir qu’une seule fois, au décès de sa mère quelques jours plus tard. Elle était venue avec ses enfants, et un petit paquet pour moi.
— Vous l’ouvrirez plus tard.
Elle avait le regard désemparé. Que peut-il nous arriver de pire que de perdre une mère ? Elle est pourtant repartie droite et le regard dur de ceux qui ont décidé de s’imposer. Elle avait dit au revoir à sa vie de jeune fille. Il était temps. J’ai ouvert le paquet le soir. Il y avait un petit ivoire et le masque ; elle n’a pas osé le string !
*
* *
Jeudi. Journée agitée, mais journée normale de bloc. Le soir je croise Latifa dans les couloirs.
— Il y a une surprise pour toi à l’office.
— Ah, un tajine ?
Elle rit. Je me précipite vers l’office, j’aime les surprises, et je tombe nez à nez avec… Sylvie ! Ouah ! Génial ! Je tombe dans ses bras.
— Sylvie, ça fait deux mois que je te cherche désespérément. Deux mois que je ne vis plus, que je dépéris.
— Menteur !
— Sylvie ! Même Latifa l’a remarqué.
— C’est vrai, Sylvie, ...
... il était triste… mais par moments seulement et pas souvent.
— Latifa, tu me trahis ?
Nous rions tous les trois. Je suis vraiment très heureux de revoir Sylvie. J’avais demandé de ses nouvelles à la surgé, qui m’avait lancé un sec :
— Si quelqu’un doit en avoir, il me semble que c’est bien vous.
Et paf ! Elle est vraiment au courant de tout. C’est vrai que je suis sorti avec elle le trimestre dernier. Mais depuis deux mois, plus rien. Un vide insupportable.
Je me souviens de notre première fois. Depuis quelque temps, je tournais autour de cette fille, pas un canon, mais avenante, toujours un sourire de petite fille amusée. En réalité, une femme qui s’assumait sacrément bien et surtout une attitude zen incroyable, quasiment du fatalisme. Je l’avais invitée dans un petit restau, derrière les Invalides et nous rentrions à pied. Arrivé place Fontenoy, je me suis arrêté et l’ai embrassée en commençant un roulage de pelle en règle.
— Tu vas être surpris.
Ça, c’est le genre de truc qui crispe. Des surprises sur le corps d’une femme ? Un transsexuel ? Je poursuis donc prudemment et cherche désespérément une rondeur bien placée.
— Je n’ai pas de seins.
— Ce n’est pas le plus important.
Elle réagissait quand même à mes caresses, la zone était sensible. Je l’ai amenée chez moi et nous avons fait l’amour. Curieux physique ; je l’appelais affectueusement ma limande. Plate devant, plate derrière et même plate sur la figure ! Mais elle m’attirait sexuellement et ...