Clinique Saint Roch 2
Datte: 12/03/2024,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
médical,
Oral
dominatio,
Auteur: Volovent, Source: Revebebe
... fort et murmure :
— Encore, encore… oui, oui…
Je continue à descendre le long de ses cuisses puis de ses mollets jusqu’aux chevilles. Elle s’est calmée, son plaisir est plus haut, mais elle est plus détendue. Ses mains, toujours attachées, ont glissé sur le pubis. Ses doigts frottent le mont de Vénus. Je remonte lentement en laissant traîner mon membre le long de ses jambes jusqu’à ses grandes lèvres. Je me frotte contre elles légèrement. Elle râle un peu et veut l’attraper. Le fouet s’abat sur elle. Elle crie, surprise. Je prends ses mains et les fais passer par-dessus sa tête. Une madone ne serait pas plus belle ! Je continue à me frotter contre son ventre puis remonte vers les seins dont je frôle les pointes à tour de rôle. Enfin, je termine de nouveau dans sa bouche. Elle ronronne comme une chatte et me suce avec avidité. Je ne peux rester trop longtemps dans sa bouche, hélas.
Je sors donc et approche ma queue de sa vulve. Je m’enfonce en elle et commence à bouger en cadence. Elle a replié les jambes et son bassin suit mon mouvement. Je donne des coups de plus en plus forts jusqu’à ce qu’elle jouisse avec son feulement si caractéristique.
Je sors de son intimité, ce qui la fait réagir « Oh, non », puis approche de nouveau mon gland de sa bouche. J’aime sa façon de me sucer. Mais là, j’ai surtout envie de la voir prendre des initiatives. Je la détache donc. Elle se frotte les poignets, puis met ses bras autour de mon cou et m’embrasse goulûment. Ses seins ...
... caressent mon torse. Je suis en érection maximale, dans une espèce de Nirvana.
Je m’allonge et elle n’hésite pas une seconde. Elle m’enfourche et s’enfonce sur ma queue en râlant doucement. Son bassin commence à s’agiter, enroulant mon membre. Son mouvement s’accélère progressivement jusqu’à devenir frénétique et s’arrête d’un seul coup, serrant mon sexe turgescent comme dans un étau. Elle explose, les yeux révulsés, dans un petit cri rauque, puis s’effondre sur ma poitrine. Je suis dans un état d’excitation extrême et, en deux ou trois coups de reins, je la rejoins et jouis longuement.
Nous sommes en sueur, le foutre dégouline de partout, les draps sont tachés, le lit est ravagé. Nous restons ainsi un long moment, sans bouger, puis elle m’embrasse tendrement.
— Merci. Vous m’avez donné tout ce dont j’avais tant besoin.
— Et c’est… ?
— … C’est difficile à formuler, des sensations, des envies, une impression de liberté, peut-être, mais surtout beaucoup de plaisir, un plaisir décuplé par un trouble, faire quelque chose de mal, braver un interdit. Surtout m’évader de tout ce poids : ma mère en train de mourir, mon mari absent, mes enfants qui demandent beaucoup ; penser un peu à moi ?
— Vous ressemblez à votre mère.
— ??
— Braver les interdits, la quête du plaisir, la volonté d’exister malgré tout.
— ?? Ma mère n’a jamais…
— N’essayez pas de lui ressembler, soyez vous-même, vivez. Il aura beaucoup de chance celui qui gagnera votre lit.
Nous nous retrouvons en riant ...