Clinique Saint Roch 2
Datte: 12/03/2024,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
médical,
Oral
dominatio,
Auteur: Volovent, Source: Revebebe
... d’eau. Elle ouvre l’armoire, fouille derrière une pile et en extrait un sac. Elle le jette sur le lit.
— Attachez-moi.
— …
— Allons, ne faites pas l’enfant, nous sommes entre adultes consentants.
Ce n’est vraiment plus la même femme qui est devant moi. Entre la petite fille apeurée et la femme sûre d’elle que je découvre, il y a un monde qui me bouleverse et me glace. Je ne comprends pas. Je prends le sac, l’ouvre et en sors des liens, cordelettes de type montagne, un collier de chien, deux ou trois masques, un fouet en cuir et quelques objets dont la signification m’échappe vraiment. Je suis dans un monde inconnu, il va falloir être très inventif. Je me retourne. Elle est nue devant moi, perchée sur ses hauts talons qui la font paraître plus grande et plus sensuelle. Elle n’a gardé que son string ficelle de type timbre-poste(non, ce n’est pas le même que la dernière fois) et un collier de perles. Elle a même eu le temps de changer de collier sans que je m’en rende compte. Je dois fonctionner au ralenti. Elle me tend les poignets. Je l’attache rapidement et efficacement, ayant un peu pratiqué montagne et marine à voile. Elle est surprise de mes nœuds. Elle ne pourra vraiment pas se détacher seule, le jeu se complique.
— Le masque noir.
Je lui place le masque, qui lui laisse une vision frontale, mais limitée. Je me sens minable. Autant je bandais tout à l’heure comme un taureau, autant je suis flasque maintenant. Ressaisis-toi, pépère. J’empoigne alors le fouet ...
... et cingle son postérieur. Elle crie, n’ayant pas vu démarrer mon geste.
— Allongez-vous.
— S’il vous plaît…
Un deuxième coup de fouet s’abat sur ses fesses. Elle crie de nouveau.
— Taisez-vous et allongez-vous.
— Détachez-moi !
Un troisième coup de fouet empourpre ses reins. Je n’y arrive pas, je ne bande toujours pas, mais je me sens mieux. Serait-ce le fouet ? Elle s’allonge sur le lit.
— Restez près du bord. Tournez la tête vers moi.
Je sors mon vit qui commence un peu à revivre en voyant cette splendide créature, allongée quasiment nue et à sa merci. Je l’approche de sa bouche.
— Allons.
— Mais… pas sans les mains…
— Taisez-vous et prenez ce qu’on vous offre.
Elle ouvre la bouche et je m’engouffre sans ménagement. L’engin se redresse presque aussitôt. Elle est vraiment très douée dans cet exercice. Sa langue tourne autour de mon gland et elle arrive presque à me branler dans un mouvement de va-et-vient très efficace. Je sors de sa bouche. Je suis maintenant revigoré et me dresse fièrement au-dessus de son corps. Je n’ai pas tout le matériel souhaitable, mais je vais improviser. Je récupère une taie d’oreiller et, doucement, j’effleure son corps, pendant que mon autre main s’égare sur les endroits sensibles. Ses seins frissonnent sous la caresse. Je descends lentement vers le pubis. Elle gémit et écarte délicatement les cuisses. Je caresse ses lèvres avec le manche du fouet, puis lèche sa vulve qui commence à s’ouvrir toute seule. Elle gémit plus ...