Clinique Saint Roch 2
Datte: 12/03/2024,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
médical,
Oral
dominatio,
Auteur: Volovent, Source: Revebebe
... moi. Ça, c’est valable pour les petites jeunes avec qui je sors d’habitude.
Probablement un besoin de s’affirmer, d’avoir quelque chose à soi, d’exister en dehors des autres, de la famille, des relations traditionnelles. Et elle a beaucoup hésité avec moi. Son accueil en sac la dernière fois prouve qu’elle n’était pas prête, même si le prétexte du fils, prétexte probablement fabriqué d’ailleurs… Il a fallu que je la force, que je profite de sa faiblesse psychologique momentanée pour qu’elle donne son corps. Qu’est-ce qui m’attend aujourd’hui ? Allons sonner.
Waououou ! Alors, là je fais le loup de Tex Avery. Elle est Ma-Gni-Fi-Que. Elle s’approche de moi pour m’embrasser, mais je la repousse pour l’admirer. Une robe divine(Lanvin, j’ai eu la curiosité d’aller voir l’étiquette plus tard) comme faite sur mesure la moule étroitement, laissant deviner toutes ses formes et même les rehaussant. Le décolleté se prolonge jusqu’à la pointe des seins, mis en valeur très probablement par un balconnet. La chute de reins donne le vertige, se terminant sur des rondeurs admirablement dessinées. Un collier au dessin très simple supporte une pierre qui essaie désespérément de se frayer un chemin entre ses seins. Une simple broche en bois sculpté tient ses cheveux en chignon, me permettant d’admirer la blancheur laiteuse de son cou élancé. Une jambe se dessine dans la fente de la robe, fente qui remonte très haut. Le galbe de ses jambes est encore rehaussé, s’il en est besoin, par des ...
... escarpins aux talons d’une hauteur vertigineuse. Mais comment peut-on marcher avec des bijoux comme ça aux pieds ? Comment peut-on… ?
Tous mes scénarii se sont écroulés d’un seul coup. Je suis sous le charme.
— Madame, vous m’avez vaincu, faites de moi ce que vous voulez, aujourd’hui je suis votre esclave.
Moment de silence, elle ne pensait peut-être pas gagner aussi vite. Puis elle me fait signe de la suivre. Nous enfilons le couloir. La suivre est un ravissement. Ses fesses roulent en cadence de droite à gauche et inversement, dans un mouvement qui me donne le vertige. Nous arrivons devant une porte. Elle entre.
— Choisissez.
La chambre est poussiéreuse. Divers statuettes et objets disparates sont disposés sur les étagères du mur du fond. Je prends un ivoire représentant un lion couché. Elle ressort immédiatement.
— Venez !
L’injonction est claire. Elle a décidé où, quand et comment. Je la suis dans une chambre qu’elle me présente comme étant la sienne. Le décor est banal, mais assez féminin. Comme si c’était un endroit sans importance. Le lit est vaste, aux boiseries un peu kitsch, je dirais 1920-30. Pas de très bon goût, mais ce n’est sûrement pas elle qui l’a mis là. Un coin est occupé par une coiffeuse du même style, un autre par un fauteuil assez confortable surmonté d’une liseuse. C’est probablement là qu’elle vient s’isoler ou lire quelque roman. Une immense armoire est plaquée contre le mur du couloir. Une porte latérale doit donner sur la salle ...