L'Autre Univers (1) - Histoires de Sexe

L'Autre Univers (1)

... alors qu’elle me murmure :

— Je vais jouir autour de ta bite... Regarde-moi dans les yeux quand j’explose...

— Tu vas me faire jouir, si je te regarde...

— Retiens-toi, je t’en supplie... C’est trop bon. Finis-Moi.

— Te finir ?

— Oui... Fais-moi l’amour, petit frère... Jusqu’à me faire oublier mon propre prénom...

— Je veux te voir nue...

Elle me lance un petit sourire coquin, avant de se redresser, moi toujours en elle, alors qu’elle retire sa nuisette, me permettant d’enfin voir son corps complètement nu. Je caresse son ventre en douceur, avant de remonter vers sa poitrine. Je la caresse comme si c’était la première fois que je voyais son corps de rêve. Je reprends mes mouvements dans son intimité, avant de faire descendre une de mes mains vers le bas de son corps.

Son clitoris m’attire, lorsque je me souviens des films pornos que j’avais regardés, il y a de cela quelques jours. L’homme posait son pouce sur cette surface tendre, et faisait de petits cercles dessus, jusqu’à délivrer sa partenaire. Je m’emploie donc à expérimenter ce que je n’ai vécu qu’en vidéo.

La jeune femme gémit sous moi, se laissant aller, alors que je reprends mes allers-retours dans son ventre. Ses gémissements sont de plus en plus forts, jusqu’à ce qu’elle soupire mon prénom, tremblant de tout son être.

Ses contractions me font presque basculer, alors que je me retire de sa chaleur, pour poser mon sexe parcouru de frissons sur son ventre. Elle gémit doucement, ...

... commençant à revenir sur terre, encore vibrante de son orgasme.

Je lui laisse le temps de reprendre une respiration normale, tout en faisant descendre ses jambes à terre. Elle gémit une nouvelle fois, avant d’ouvrir les yeux :

— C’était... Géant !

Je ne réponds rien, prenant conscience de ce que je venais de faire : prendre ma grande sœur, comme si tout était naturel. Je commence à voir des remords, jusqu’à ce qu’une gifle ne fuse. La propriétaire de la main me lance un regard de braise, mais dans le mauvais sens du terme : elle semble furieuse :

— Je vois ce que tu penses, dans ton regard. Tu as toujours été un garçon très expressif. Mais par respect pour moi, ta grande sœur, ne t’avise plus jamais de dénigrer ce moment. Ce que nous avons vécu, ce soir, c’était sublime. Magnifique. Vraiment.

— Je suis désolé, c’est juste que je suis ton frère, et que c’est nouveau, pour moi, tout ça... Tu es la première femme avec qui je couche. Je dois juste assimiler le fait que tu sois inaccessible. Que cette relation ne mènera à rien.

Sa main se lève une nouvelle fois, mais je l’arrête en plein dans son geste, avant de mordiller doucement son poignet. Elle gémit, avant que je ne continue mon petit monologue :

— Ce moment était magique, et je m’en souviendrai toute ma vie. Malheureusement, les liens du sang nous interdisent d’aller plus loin, alors que j’aimerais...

— Tu aimerais ?

— Te faire absolument tout.

Elle gémit, avant de se redresser pour m’embrasser à pleine ...