L'Autre Univers (1) - Histoires de Sexe

L'Autre Univers (1)

... puceau...

Elle rougit, avant de baisser la tête, embrassant d’abord mon menton, avant de me forcer à relever la tête, pour lécher ma gorge, puis la mordiller :

— J’ai toujours eu envie de te faire l’amour alors que tu n’avais pas la moindre expérience...

Je rougis, alors qu’elle passe une main entre nos deux corps, afin de prendre mes bourses en main. Je geins, tandis qu’elle lève le bas de sa nuisette. Je ne sais pas du tout ce qu’elle prévoit de faire ensuite, mais mon cœur s’accélère lorsque je sens quelque chose d’humide et de doux sur le bout de mon gland. Je ne comprends pas ce qu’il se passe, jusqu’à ce que je coulisse dans sa moiteur, mais pas en elle. Mon membre se décalotte contre son entrée, avant qu’elle me murmure :

— Avant toute chose, j’aimerais beaucoup que tu me manges.

— Que je te... Mange ?

— Oui. Que tu t’occupes de mon intimité avec ta bouche. Je suis toute trempée, mais si tu veux me prendre, il va falloir que tu me fasses mouiller comme jamais, mon ange...

Son corps de rêve remonte contre moi, jusqu’à ce que sa poitrine se retrouve juste sur ma bouche. De moi-même, je baisse le haut de son vêtement fin, pour commencer à prendre l’une de ses pointes en bouche, l’étirant avec mes dents, ce qui a pour effet de la faire gémir de plaisir. Je ne suis pas encore sûr de ce que je fais, mais ce sont ses réactions qui me font savoir si je vais dans la bonne direction, ou non.

Quelques secondes plus tard seulement, elle reprend son ...

... ascension, ne s’arrêtant que lorsque son bas-ventre se retrouve juste au-dessus de ma bouche. La belle rousse n’a pas pris le soin de mettre un sous-vêtement, comme si elle savait pertinemment ce qui allait se passer : a-t-elle prévu son coup longtemps à l’avance ?

Ses cuisses se posent le long de mon visage, alors qu’elle s’accroupit, se plaquant contre le mur, se retenant aux tuyaux de mon radiateur pour se maintenir droite sur moi. L’une de ses mains descend, écartant ses lèvres intimes, me permettant de voir l’entrée de sa féminité. Son long conduit humide. Sa peau luisante, de ce que j’imagine être de la cyprine, attire mon regard, tandis que je regarde de près pour la première fois, un sexe féminin.

Mon absence de mouvement finit par lui indiquer, mieux que tout, que je ne sais pas du tout quoi faire. Elle soupire, avant de me guider :

— Passe ta langue sur mes lèvres, tout doucement.

Je rougis, avant de m’exécuter. Je sens un petit goût sucré, lorsque ma langue touche sa peau, et que je remonte vers le haut de son bas-ventre. Elle est rasée de près, ce que j’apprécie, alors que je découvre son corps de femme. Et dire qu’il y a seulement quelques minutes, je ne m’intéressai pas du tout à elle de cette façon. A force de la voir, j’avais totalement oublié qu’en réalité, elle est une très belle femme, à présent. A vingt-quatre ans, elle est sublime, alors que je me trouve assez banal, du haut de mes dix-neuf ans.

Lorsque je m’approche du haut de son intimité, elle ...