L'Autre Univers (1) - Histoires de Sexe

L'Autre Univers (1)

... bouche. Je la laisse faire, jusqu’à ce qu’elle m’allonge sur le dos, grimpe sur moi, puis me murmure :

— Je vais te donner un aperçu du paradis... Tu es prêt ?

— Oui...

Elle commence à s’empaler sur mon sexe tendu, avant de gémir une nouvelle fois mon prénom. Cette fois-ci, j’ai comme l’impression que cette chevauchée sera la dernière de cette nuit. Ses coups de bassin sont brutaux, ses gémissements incohérents, mais son plaisir est ravageur. Elle convulse sur moi, tout en continuant à nous donner du plaisir, jusqu’à ce qu’enfin, elle se libère, poussant un cri empli de désir...

Quelques secondes plus tard, elle continue ses mouvements, jusqu’à ce que je sente ma sève monter le long de ma tige. Je pousse un grognement, avant de lui murmurer :

— Je vais venir... Je sens que ça monte...

Elle ne dit rien, fermant les yeux à moitié, tout en continuant de donner des coups de reins sur mon bas-ventre. La pression augmente encore, alors que je commence à couler en elle :

— Grande sœur : tu vas me vider !

Mais c’est comme si nous n’étions plus dans le monde. Presque plus dans le même univers. Je gémis son prénom, tentant de me retenir, ainsi que de le repousser, mais c’est peine perdue, alors que mon sexe se met à convulser à l’intérieur du sien, juste avant la délivrance. Elle soupire, pose ses mains sur mon torse, pour finir dans une folle chevauchée, qui a pour résultat... Mon éjaculation dans ses entrailles. Une longue et brutale traite de mon membre, ...

... jusqu’à la dernière goutte, directement au fond de son être. Elle finit par baisser la tête, en ouvrant les yeux :

— J’ai adoré te faire venir tout au fond de moi...

Sa respiration est anarchique, alors qu’elle se redresse. Dans ses yeux verts, je vois très bien que nous n’en avons pas encore tout à fait fini pour cette première nuit. Et cela se confirme tout de suite, lorsqu’elle m’indique :

— Il va falloir que tu poses ta bouche sur mon sexe, et que tu goûtes ton propre jus, sans l’avaler, tu es d’accord ?

— Oui, je suis prêt à tout pour toi.

Son corps se soulève gracieusement, avant qu’elle ne se dépêche de remonter le long de mon être, une main retenant mon fluide intime à l’intérieur de ses parties intimes. Finalement, elle se pose sur moi, et retire sa main, laissant couler mon foutre et sa mouille dans ma bouche. Comme elle me l’a demandé, je n’avale pas, gardant nos goûts sur ma langue, jusqu’à ce qu’elle s’approche de moi, pour m’embrasser à pleine bouche, goûtant à son tour nos saveurs. Elle gémit, toute contre moi, avant de s’éloigner un peu, gardant une main sur ma joue :

— C’était parfait, petit frère. Vraiment parfait. Je n’ai jamais pris autant de plaisir qu’avec toi. En plus, tu ne peux pas savoir à quel point le fait de me faire prendre par mon frère m’excite...

— Mais... Tu avais envie de moi depuis combien de temps ?

Elle rougit, tout en évitant mon regard :

— Disons que j’ai remarqué depuis quelques années que tu étais devenu un ...