L'Autre Univers (1) - Histoires de Sexe

L'Autre Univers (1)

Quelque chose d’étrange me démange, alors que je suis sur le point de me réveiller. J’ouvre lentement les yeux, pour voir une longue chevelure de feu recouvrir mon torse, tandis que la propriétaire de cette chevelure... S’active en bas, avec sa bouche.

Je suis encore sous le choc, les sensations me paralysant, ma main partant d’elle-même sur la tête de ma partenaire, la forçant à continuer ses douceurs sur mon membre, qui est maintenant gonflé par ma sève.

C’est la première fois qu’une jeune femme s’occupe de moi de cette façon. Je suis puceau, je n’ai donc aucune expérience en ce domaine, alors que j’ai dix-huit ans, et que je n’ai pas de petite amie...

Pas de petite Alors ?! Alors qui est la rouquine qui mordille mes testicules pleins de jus ? J’écarte la masse de cheveux, alors que la demoiselle relâche la pression, me permettant d’entrevoir son visage durant quelques secondes : Élodie. Ou, plus simplement : ma grande sœur.

Je rougis d’un coup, avant de tenter, mollement, de l’éloigner de mon intimité :

— Élodie ! Qu’est-ce que tu fais ?

Elle me prend en main, posant son regard émeraude sur mon visage, de la bave coulant encore de ses lèvres, et un petit sourire coquin illuminant sa bouille :

— Je pompe mon petit frère.

Elle aspire le bout de mon gland, tout en me lançant un regard de braise. Sa petite nuisette laisse très peu de place à l’imagination, tandis que l’une de ses mains disparaît vers le bas. Quelques secondes plus tard, un ...

... gémissement lui échappe, alors que ses yeux se ferment. J’imagine assez bien l’un de ses doigts caressant son intimité, tournant autour de son entrée, sûrement dégoulinante de son jus de femme...

Malgré le fait que cette situation soit plus qu’étrange (incestueuse, même), je n’arrive pas à la retenir, la laissant mordiller une partie très tendre de ma virilité. Je pousse un petit gémissement, alors qu’elle continue encore ses douceurs, me faisant presque devenir un homme par la même occasion.

Elle relâche la pression lorsque je lui murmure que je ne vais pas tarder à jouir : bien que je n’aie rien fait avec une demoiselle, je me suis tout de même masturbé, et je sais lorsque je suis sur le point de venir...

Sa main caresse maintenant mon poitrail, alors qu’elle se redresse, avec un petit sourire coquin : apparemment, il y a une suite à nos activités incestueuses. Elle remonte le long de mon corps, jusqu’à ce que son visage se retrouve au niveau du mien.

Je me perds dans son regard émeraude, alors qu’elle approche doucement ses lèvres des miennes, pour m’embrasser presque délicatement. Je rougis, tout en me disant que nous faisons tous deux une très grosse erreur.

J’essaie de lui faire part de mes états d’âme, elle m’embrasse encore plus langoureusement, avant de poser un de ses longs doigts sur mes lèvres :

— Nous allons nous donner l’un à l’autre, sans compter. Comme si nous n’étions pas de la même famille. Comme si nous n’étions pas frère et sœur.

— Je suis ...