L'Autre Univers (1) - Histoires de Sexe

L'Autre Univers (1)

... savais déjà, mais ma grande sœur est très douée, et elle n’a pas fini de me surprendre...

Passer le moment de surprise, je commence de lents et longs va-et-vient à l’intérieur de son être, tout en caressant ses hanches, puis ses seins. Elle est sublime, tournant la tête pour pouvoir me voir en train de la prendre. Après une énième caresse, elle prend encore la parole :

— Tu sais que je ne suis pas en sucre ? Tu peux taper dedans, tu ne me feras pas le moindre mal. Tire un peu sur mes cheveux, tu verras : c’est super excitant...

Ni une ni deux, je mets en application ses recommandations. J’attrape sa queue-de-cheval, avant de tirer dessus, puis de la forcer à se cambrer. Une fois dans la bonne position... Je tape dedans. Littéralement. Je la soulève du lit à grand renfort de coups de reins, ce qui la fait gémir de plaisir, bien plus fort que de raison. Je ne sais pas si elle fait cela parce qu’elle aime ça, ou si c’est pour m’encourager.

Quelques secondes plus tard seulement, je suis obligé de ralentir le rythme, tant le plaisir est immense. Elle soupire de frustration, avant de me murmurer :

— Parfois, j’ai l’impression que tu es l’amant parfait. Mais j’oublie toujours que tu es encore en train d’apprendre. Merci de ne pas avoir joui : je vais pouvoir m’occuper de toi comme il se doit. Je veux juste que tu me fasses venir une nouvelle fois, mais cette fois-ci, sur le bout de ta queue.

Je ne lui réponds rien, alors que je sors une fois encore de son ...

... bas-ventre. Elle s’allonge sur le dos, au bord du lit, les jambes dans le vide. Je me place entre, pour me glisser à nouveau dans ses profondeurs. Son humidité me fait directement arriver au fond de son intimité, avant qu’elle me murmure :

— Tu te souviens de mon clitoris ?

— Oui ?

— Caresse-le pendant que tu me prends. Tu me feras venir beaucoup plus vite.

Je commence à la prendre, tout en douceur, tellement doux que ses gémissements se transforment en soupirs. Elle est vraiment sublime, toute en courbes, et c’est seulement maintenant, alors qu’elle est sous moi, totalement abandonnée à cette danse sensuelle, que je me rends compte de son charme, et de sa beauté.

Mes doigts vont à la rencontre de son corps, ses jambes remontent, l’arrière de ses genoux arrivant près de mes épaules. L’angle de pénétration change, me permettant de voir mon sexe entrer et sortir de son être. Je sens que je ne vais pas tenir bien longtemps, surtout lorsque je vois son regard de braise...

Je ferme les yeux, continuant de la pénétrer sans la regarder : la pression redescend, mais les sensations restent : je sens la moindre muqueuse de ses parties intimes. La peau de mon gland qui se retire, pour que mon membre soit directement en contact contre son intimité... Les tremblements qui la traversent...

Une main sur mon torse me force à la regarder, elle, et ses cheveux de feu, étalés autour de son visage, créant un contraste entre le rouge et le blanc. Son regard semble à moitié perdu, ...