L'île sauvage
Datte: 26/02/2024,
Catégories:
f,
ff,
fbi,
fplusag,
frousses,
bain,
amour,
cérébral,
Voyeur / Exhib / Nudisme
ffontaine,
Oral
nopéné,
init,
aventure,
Auteur: Juliette G, Source: Revebebe
... peur. On va voir s’il n’a pas oublié. Il y a forcément de quoi le harnacher.
— Oh. C’est quoi ?
— Pour monter sur son dos.
— Chérie Aylin est foldingote !
— Non. Où il portera nos sacs. Tu verras…
Pas question de monte immédiate, mais cela viendrait. Ce n’était d’ailleurs pas important. Joliet était déjà d’accord pour porter leurs fardeaux, et cela oui, était d’importance. Les deux compagnes étaient sur place depuis trois jours. Elles avaient écumé les alentours de la plage, et avaient fait d’autres découvertes, dont l’une était d’une importance capitale pour l’Irlandaise. Deux porcs avaient été difficiles à capturer. Il leur avait fallu énormément de patience, comme beaucoup d’adresse. La petite troupe d’une dizaine de porcs avait faim et était plutôt curieuse.
— C’est pas si bête un cochon. Ils se sont bien débrouillés. C’est pas du gros lard, mais ils se sont débrouillés pour survivre.
Vanna avait fini par attirer la truie avec des pommes, avant de se jeter sur elle et de lui ficeler les pattes avant. Une jeune truie maigrelette et un jeune mâle à l’attache dans un enclos réparé à la va-vite. Cela suffisait. Les autres bêtes resteraient sur place. Peut-être qu’un beau jour, les femmes reviendraient. De toute façon, il y avait assez de cochons sauvages dans la nature. Elles avaient par ailleurs trouvé beaucoup mieux. Des volailles ! Poules, poulets et coqs. Une aubaine pour Aylin. Une découverte pour Vanna. Des courses-poursuites épuisantes. Et… L’affaire du ...
... siècle pour Aylin Temple, voleuse irlandaise. Une longue chasse aux œufs ! Un apport imprévu de nourriture facile. Une nourriture riche et succulente. Aylin avait choisi un superbe coq et quatre belles poulettes, qui avaient rejoint la truie et son compagnon dans l’enclos. Puis, elle avait tué trois poulets.
Aylin ruait sous les frappes de sa compagne en se tordant de rire.
— Tu étais terrorisée !
— Non !
— Morte de trouille !
— Non, arrête ! C’est pas vrai !
— Oh Vanna…
La belle métisse éprouvait une sainte frousse envers ces bestioles à plumes ! Cela avait été l’objet de leurs sympathiques chamailleries.
— Mais Aylin ! On fera comment chez nous ?
— Un enclos au début. Beaucoup de nourriture, et petit à petit, on les laissera sortir. Très vite, nos bestioles ne bougeront plus du coin. Il faudra juste les nourrir un peu, mais elles pourront rester dehors. Elles savent déjà se débrouiller seules. Nous, très vite, nous saurons où nos poulettes iront pondre et nous récolterons nos œufs.
— T’iras, toi !
— Oui ma belle. Pour nos cochons, nous les aiderons simplement à engraisser.
Après leurs chamailleries, les naufragées s’étaient faites belles. Aylin désirait faire la fête. D’autant qu’elle avait trouvé deux bouteilles de rhum. Un bain en mer et un passage par une petite mare d’eau claire sous les rochers. Puis elles s’étaient habillées. Épais tricots bleus, pantalons de toile grise et bottes. Des bottes pour Aylin. Les douze paires de bottes étaient toutes ...