1. Tonton Cristobal


    Datte: 09/02/2024, Catégories: fh, ffh, fffh, fplusag, couleurs, frousses, rousseurs, voisins, poilu(e)s, fépilée, coiffure, magasin, noculotte, strip, caresses, entreseins, Oral 69, préservati, pénétratio, fsodo, Humour fantastiqu, Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    ... spécialisés et en grosse quantité.
    
    J’avale trois sachets d’un coupÇarapétamol. Je sais, ce n’est guère prudent, mais j’ai vraiment très mal, et je fais confiance au tonton qui doit me protéger de là-haut.
    
    Je déjeune sur le pouce et décide de m’allonger quelques minutes, le temps que l’antidouleur fasse effet.
    
    En fait, je pique un roupillon de derrière les fagots. Je me réveille vaseux à seize heures. Je n’ai plus mal au crâne, mais je me trimballe une trique monumentale, un engin qui se sent à l’étroit dans mon froc. Tellement à l’étroit que le Nestor me fait mal, qu’il a des envies d’évasion, tout juste s’il ne crie pas « Liberté » en faisant un trou dans le tissu.
    
    Bon, je suis plutôt porté sur la chose, je ne rechigne jamais à rendre hommage à une dame qui me le demande gentiment. Mais je ne chope jamais le mandrin de l’air du temps. Surtout un engin pareil. Je ne le vois pas encore, mais je lesens. Jamais je n’ai chopé une gaule aussi rigide.
    
    J’ôte ma ceinture et me débraguette pourlui laisser un peu d’air. Avec un peu d’appréhension, je baisse mon caleçon. C’est tout juste s’il ne bondit pas comme un diablotin de farces et attrapes.
    
    J’ai peur,il me fait peur. C’est un comble d’avoir peur de son sexe, mais il semble animé d’une vie propre. Il n’est pas plus gros, ni plus long, mais… différent.
    
    L’esprit encore vaseux, je me rends compte que quelqu’un sonne à la porte, ce qui a dû provoquer mon réveil.Merde je ne peux pas ouvrir dans cette tenue, car ...
    ... maintenant qu’Il est à l’air libre, impossible deLe remettre en place.
    
    — Un instant, j’arrive… qui est-ce ?
    — Sandrine…
    
    Je peux encore moins ouvrir dans cette tenue, je me précipite dans la chambre pour récupérer un machin qui ne me fasse pas passer pour un satyre. Je ne peux ouvrir l’air de rien, la bite à l’air, surtout une bite pareille.
    
    Un pantalon ? Impossible,Il ne voudra jamais rentrer ! Je n’ai pas de sortie de bain, donc il me faut me rabattre sur de l’étrange, du pas commun, du hors-norme. J’ouvre l’armoire aux souvenirs du tonton et cherche mon bonheur.
    
    La muleta ? Non ! Quoique, avec la banderille que je trimballe…
    
    Booom, Booom !
    
    — Oui, j’arrive…elle s’énerve la coiffeuse.
    
    Le stetson ou la chapka non plus…Le Kilt !Bon sang, mais c’est bien sûr !
    
    Elle se fige, la bouche ouverte, à l’instant où j’ouvre la porte, j’ai réussi à lui couper le sifflet.
    
    — Que me vaut ?
    — Qu’est-ce que vous faites en jupe ?
    — Ceci n’est pas une jupe, ceci est un kilt ! Je buvais un whisky à la mémoire de mon oncle, on ne peut pas savourer un pur malt sans porter la tenue traditionnelle. Vodka avec chapka, kimono avec saké, téquila et sombréro, kilt avec whisky.
    — Ah, répond-elle dubitative.
    
    Je vois à son attitude qu’elle se demande si je ne suis pas un tantinet barge.
    
    — Puis-je vous en offrir un doigt ?
    — Euh, non, pas de suite, j’ai un gros souci, une fuite dans ma cuisine, de l’eau partout et pas de plombier sous la main, mais Lucien avait une grosse ...
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