Tonton Cristobal
Datte: 09/02/2024,
Catégories:
fh,
ffh,
fffh,
fplusag,
couleurs,
frousses,
rousseurs,
voisins,
poilu(e)s,
fépilée,
coiffure,
magasin,
noculotte,
strip,
caresses,
entreseins,
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
fsodo,
Humour
fantastiqu,
Auteur: Radagast, Source: Revebebe
... boîte à outils et qu’il rendait de petits services chez les unes et les autres. Il était habile de ses mains.
Elle a débité cette phrase de nouveau d’une seule traite, sans respirer, chapeau. À son ton, j’ai une petite idée des autres menus services que devait lui rendre le tonton.
— Effectivement, j’ai vu cette boîte dans un placard de la cuisine, j’arrive.
Arrivés dans sa cuisine, en effet ça sent la crue du siècle. L’eau coule à gros bouillons et inonde une bonne partie de la pièce. Je repère vite l’origine du geyser.
Je coupe l’arrivée d’eau au compteur et, assis sous l’évier, remets en place un joint de tuyau défectueux.
Ce que je n’avais pas anticipé, c’est que, assis ainsi, même avec un vêtement ample, il y a des choses qui n’échappent pas au regard aguerri d’une connaisseuse. Le kilt pourtant lourd ressemble à un chapiteau du cirque Bouglione dressé sur son grand mât.
— Qu’est-ce que c’est que ce truc, demande la curieuse en soulevant le vêtement.
— Que faites-vous ?
— Oh putain de bordel de merde, s’exclame-t-elle sans me répondre.
Elle s’agenouille entre mes jambes et entoure mon sexe de ses doigts.
— La vache, murmure-t-elle, j’en ai vu un certain nombre, mais d’aussi rigides, jamais.
Puis elle s’arrête de parler pour emboucher mon glaive. Je viens peut-être de trouver la solution pour la faire taire. En tout cas, ses lèvres douces sur ma colonne Vendôme me font du bien. Même si elles ne détendent pas la bête, elles l’apaisent. Galant ...
... homme, je me dois de lui présenter des excuses.
— Je suis désolé, ne vous sentez pas obligée, ce n’était qu’une fuite.
—Sssi Sssi, arrive-t-elle à dire, la bouche toujours pleine,ha he hait hlaisir.
— Alors daignez que je vous rende la pareille, dis-je en chevrotant quelque peu.
Elle est vêtue d’une courte jupe noire et d’un chemisier rouge. Je glisse ma dextre sous la jupette et arrive vite à la limite des bas autofixants. Sa peau est douce et chaude, elle tressaille sous la caresse, surtout lorsque mes doigts atteignent la petite culotte, qui me semble bien humide. J’écarte le tissu et jette un œil. Ô divine vision, ô la jolie mangrove que voilà.
Étant donné la profession de la demoiselle et la mode actuelle, je la voyais bien épilée du minou. Je me trompais, elle a le ravin du plaisir tout emmitouflé d’une douce toison châtain clair, très fournie. Il semble que cette pelisse remonte très haut sur le ventre, déborde sur les cuisses, loin du ticket de métro, ce serait plutôt la forêt tropicale, car il y fait très chaud.
Il ne me faut guère de temps pour lui ôter jupe et petite culotte et me retrouver le nez collé à son bijou rose et sombre.
Gonflé de désir, il n’attend que ma bouche. Je ne suis point homme à laisser une femme s’escrimer seule. Un gloussement et un frétillement du fessier me signalent que mes initiatives plaisent à l’intéressée.
Je déplie du bout de la langue ses nymphes sensibles et visite d’un doigt curieux son antre en ébullition. Elle ...