Soifs d'un soir d’été - Histoires de Sexe

Soifs d'un soir d’été

... quelques secondes le sein puis je le libère, pour mieux reprendre ma respiration. Puis je dis :

— Même si je suis positivement ravi, je suis quand même étonné de ce qui nous arrive ce soir. Les joies du hasard ou autres choses ?

Sa main sur ma joue, Mireille me répond :

— En réalité, Béné et moi en avions évoqué la chose comme ça, quand nous étions à la plage.
— Oh oh, des petites cachotteries ?
— Au début, c’était de la déconnade, puis petit à petit, on s’est dit « pourquoi pas ».
— Bonne initiative !

Mireille est goguenarde :

— Oui, ça a même très bien fonctionné. Comme quoi, vous les hommes, vous êtes des sacrés cochons en puissance.
— Disons que nous saisissons les opportunités quand elles se présentent…
— Avec juste un peu d’hésitation quand la voie n’est pas certaine ?

Je me justifie :

— Un quart d’heure de folie ne justifie pas une vie de couple en morceaux… J’aime ma femme, mais… comment dire… quelques câlins ailleurs, ça ne fait pas de mal… Surtout auprès d’une femme comme toi…
— J’ai cru comprendre. Quoique… sauf erreur de ma part, nous avons dépassé les quinze minutes…
— Je te l’accorde. Et en parlant de morceau, celui que j’ai en main et en bouche depuis tout à l’heure est un morceau de choix !

Elle se met à rire, tandis que je continue de m’occuper de sa poitrine si avenante. Elle se laisse faire quelques longs instants, puis elle reprend la parole :

— En parlant de morceau, comme tu dis, fais-moi voir le tien ...

... !

Intrigué, sans lâcher le sein tout mou que j’ai en main, je lève le nez :

— Euh… c’est-à-dire ?

L’explication tombe aussitôt sans fioriture :

— Allez, sors ton engin, ton zob, ta bite !
— Tu… tu es sûre ?
— Je vois que tu bandes à mort et que t’as envie d’évacuer ton trop-plein. Tu peux faire sur me nichons, si ça te dit…
— Bien sûr que ça me dit, même si on approche dimanche !
— Pff, t’es vraiment con quand tu t’y mets !

Avec empressement, je sors mon engin. Mirelle le contemple quelques instants, puis elle ouvre la bouche :

— Béné m’en avait parlé. C’est vrai qu’il est large, ton truc, ça doit bien remplir les foufounes. Ton machin n’est pas aussi long que le zob de Denis, mais ça occupe l’espace…
— Parce que vous parlez de nos queues entre vous ?

Sans complexe, Mireille tend la main pour caresser ma verge :

— Je parie que Denis et toi parlez de nos nichons et de nos chattes, je me trompe ?
— Je mentirai en disant que ça n’est jamais arrivé… mais c’est néanmoins assez rare…
— Je sais, je sais, vous faites plutôt dans l’allusif. Mais là, il me faut du concret !
— Pas de problème !

M’attirant à elle, elle s’allonge un peu plus, puis elle commence à me branler. Je reconnais que Mireille est très efficace dans sa façon de s’y prendre. Je sens que je ne vais pas résister longtemps. Comme si elle devinait mon état, ma compagne de jeu explique :

— Béné et moi sommes tombés d’accord sur ce qui était possible et ce qui n’était pas possible.
— Pas de ...