Soifs d'un soir d’été - Histoires de Sexe

Soifs d'un soir d’été

... donne chaud ! répond sur le même ton ma Bénédicte, qui se met à dégrafer à son tour un bouton supplémentaire de sa chemise.

Comme elle n’a rien en dessous, elle aussi, le galbe de ses seins apparaît. En se levant, avec le bon angle, on peut déjà apercevoir un téton… Je sais, j’ai vérifié…

À son tour, ma femme se lève :

— C’est pas tout ça, la boisson, mais faut d’autres trucs à grignoter !
— Puissamment raisonné, Béné !

Bénédicte part chercher le complément de biscuits apéritifs et d’amuse-gueules. En revenant à sa place, elle s’assoit différemment. Sa chaise a bougé et ses jambes sont maintenant dans l’axe de vue de notre ami (Denis, le mari). En s’asseyant, sa chemise s’est écartée, laissant cette fois-ci apparaître nettement sa petite culotte. Notre ami a une vue directe sur son entrejambe…

Très vite, Mirelle se rend compte de la vue que ma femme offre à son mari. Par amusement, elle décide de faire de même avec moi. Elle remonte ostensiblement sa robe vers le haut de ses cuisses. Avec le bon angle, mes yeux ont accès désormais à sa petite culotte que je découvre être plutôt fine.

Ignorant ce petit manège, Denis annonce :

— Au fait, il faudra que vous reveniez à la mer avec nous. Que diriez-vous de la semaine prochaine… la météo est repartie au beau fixe.

M’arrachant de la vue que m’offre ma vis-à-vis, je réponds diplomatiquement :

— Si ça ne vous dérange pas… Perso, je suis partant. Et toi, chérie ?
— Je suis partante, moi aussi…
— Alors ...

... tout va bien !

Constatant le petit manège de sa voisine, Bénédicte enchérit en dégrafant un troisième bouton de chemise. À présent, il n’existe plus qu’un seul bouton opérationnel. S’il regarde de côté, Denis peut voir totalement un sein. Vu comment il vient de repositionner sa chaise, je suppose qu’il a maintenant le bon angle. Puis Denis lance :

— C’était fun d’être tous les quatre à la plage. On s’amuse mieux comme ça que tout seul.

Haussant les sourcils, Mireille intervient :

— Comment ça, tout seul ? Je compte pour du beurre, c’est ça ?
— Ce n’est pas ce que je voulais dire, ma puce !
— Tu voulais dire quoi alors ?
— Deux couples, c’est autre chose. La fois dernière, tu as beaucoup causé avec Bénédicte. Ose dire le contraire. De plus, vous vous êtes amusées comme des folles.

Mirelle semble se souvenir :

— Oui en effet. Mais on peut aussi très bien jouer les folles, ailleurs que sur la plage.
— C’est pas faux… dans les magasins, par exemple… mais en général, ça grille une Carte bleue !
— Oh le macho ! On peut s’amuser partout en bonne compagnie, n’est-ce pas, Daniel ?

Assez surpris d’entendre mon prénom, je réponds :

— Euh… oui… bien sûr…

Comme pour prouver ses dires, Mireille se prend au jeu, elle dégrafe deux autres boutons et écarte le haut de sa robe, je vois distinctement le commencement de ses seins, qu’elle a fort jolis. J’en sais quelque chose puisqu’elle ne les a pas beaucoup cachés quand nous étions sur la plage, il y a quinze jours. ...