Soifs d'un soir d’été
Datte: 31/01/2024,
Catégories:
fh,
couplus,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
caresses,
entreseins,
libercoup,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... lécher, de les sucer !
Pourtant, je ne suis pas privé de nichons, ma femme en ayant deux beaux. On dit que l’herbe est toujours plus verte dans le pré voisin, les lolos sont sans doute toujours plus excitants dans le décolleté de la voisine…
Et ce n’est pas Denis qui me contredira, si j’en crois la ferveur qui l’anime concernant la poitrine totalement dénudée de ma femme !
Après toutes ces émotions, il est bon de se sustenter un peu. L’atmosphère reste conviviale, malgré le flagrant échange de partenaires. Denis agit avec ma femme comme s’il s’agissait de la sienne, et moi, j’en fais de même de mon côté avec la sienne. Nous sommes tous les quatre en plein dans une énorme parenthèse. Pourvu qu’elle ne se referme pas trop vite !
Nos femmes usent et abusent un peu trop du liquide blanc. Encore heureux que Timothée m’avait rapporté trois bouteilles, car la deuxième est déjà bien entamée. Sans nous être concertés, Denis et moi, nous nous abstenons.
Après avoir consommé l’entrée, prenant péremptoirement Denis par la main, particulièrement excitée et guillerette, ma femme part s’isoler avec lui dans la chambre d’amis. Denis se laisse faire, le contraire aurait été étonnant.
Resté seul avec Mireille, c’est vers le canapé que se déroule la seconde partie de la soirée. Je m’occupe à fond d’elle, laissant mes mains se balader partout sur son corps, ainsi que mes lèvres, avec une prédilection marquée pour sa poitrine.
Il est vrai que Mimi a conservé sa petite ...
... culotte, indiquant de façon claire et nette les limites de nos marivaudages. Il y a du bon à ne pas aller trop vite, à condition de découvrir plus tard ce qui est actuellement couvert. Elle me laisse jouer avec ses seins, son ventre, son dos, ses cuisses et partiellement ses fesses, et je ne m’en prive pas.
Je peux l’embrasser sans souci dans le cou, mordiller ses oreilles, mais je vois bien qu’elle me refuse ses lèvres. Donc je n’insiste pas. Actuellement, je suis en train de bisouter ses seins, de mordiller ses tétons, de les sucer comme si j’étais un gros bébé vorace.
— Mes nichons te plaisent tant que ça, Daniel ?
— Bien sûr que oui !
— Je vois ça… Pourtant ceux de ta femme sont plus beaux, j’aurais aimé avoir les mêmes !
— Les tiens sont très bien ! On peut jouer avec…
— Parce que ceux de Béné sont des œuvres d’art et donc, pas touche !
Tout en continuant mes privautés, je réponds :
— Je te rassure, je ne néglige pas les nénés de Béné !
— Je te crois… Mais pourquoi cette… passion envers les miens ?
— Je peux faire avec tes seins des choses que je ne peux pas faire avec ceux de Béné.
— Ah bon ? Et quoi ?
— Ceci !
Voracement, ouvrant largement ma bouche, j’engloutis une bonne partie du sein mou de Mimi. Celle-ci s’en amuse :
— Hihihi ! Qu’il est con, alors !
Je répondrais bien quelque chose, mais ma bouche est trop occupée à suçoter l’énorme chamallow tout tiède que je viens d’enfourner. Mireille se laisse faire, caressant mes cheveux. Je mastique ...