1. Soifs d'un soir d’été


    Datte: 31/01/2024, Catégories: fh, couplus, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, entreseins, libercoup, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    Aujourd’hui, la journée a été chaude, dans les deux sens du terme. Bénédicte, ma femme, a passé toute l’après-midi dans le jardin en simple petite culotte (et rien d’autre sur elle), alternant chaise longue et entretien des fleurs, et moi, durant tout ce temps, je me suis rincé l’œil.
    
    En cette fin d’après-midi, étant dans la cuisine, je prépare l’apéritif qui aura lieu sur la terrasse, car Mireille et Denis, un couple d’amis, doivent venir dîner. C’est bon, je viens de vérifier : les bouteilles sont au frais, et les amuse-gueules et les biscuits apéritifs sont prêts. Le repas aussi, qui sera froid, sauf quelques brochettes.
    
    Ding dong ! Les voici qui arrivent. Surprise, ma femme s’exclame :
    
    — Déjà ? Ah, merde !
    
    Bénédicte se rhabille prestement avec une de mes chemises qui séchait à proximité. La chemise trop grande pour elle flotte sur ses seins restés libres, et couvre sa petite culotte. À priori, on ne peut voir que ses jolies jambes bronzées. Je m’étonne :
    
    — Tu vas rester comme ça, Béné ?
    — Et pourquoi pas, Danichou ? Je te rappelle que nous avons été à la plage tous les quatre, il y a quinze jours.
    — C’est vrai… ton bikini était assez riquiqui…
    — Ah oui ? Pourtant tu t’es bien rincé l’œil, mon chéri, comme aujourd’hui…
    
    Depuis quelques années, Mireille et Denis louent souvent un bungalow en bord de mer, et nous les avions rejoints pour un week-end prolongé. En tout bien, tout honneur.
    
    Après les salutations d’usage, nous nous installons autour de la ...
    ... table de jardin, les deux femmes étant assises du même côté. Mirelle porte une robe d’été courte avec un décolleté qui met en valeur sa jolie poitrine. J’observe que ma femme (à la suite d’un probable réflexe de concurrence féminine) déboutonne très discrètement un bouton du haut de la chemise, créant à son tour un agréable décolleté.
    
    Après quelques minutes de bavardage, je me lève :
    
    — Je propose un rhum, un vrai de vrai, rapporté de Martinique par Timothée, un collègue.
    — Un vrai de vrai, t’est certain, Daniel ?
    — Le collègue est martiniquais, et ce rhum, c’est son père qui le fabrique.
    — Ah OK ! C’est vraiment un vrai de vrai !
    
    Je m’absente quelques instants, puis je reviens, une grosse bouteille en main. En faisant le tour pour servir l’apéritif, je constate que la chemise de ma femme n’est pas boutonnée jusqu’en bas. En effet, une fois assise, un pan s’est écarté laissant voir un bout de sa culotte à sa voisine. Son mari assis en face de ma femme ne peut rien voir de tout ça. Tant pis pour lui…
    
    La conversation est agréable. Je sers un deuxième verre à tout le monde. Le rhum commence à faire de l’effet sur les femmes. Soudain, un fou rire les prend :
    
    — Pffui, il donne chaud, ton rhum ! dit notre amie qui, pour appuyer ses dires, ouvre un peu plus son décolleté.
    
    Il est flagrant qu’elle ne porte pas de soutien-gorge. Elle s’avachit un peu sur son fauteuil de jardin. Sa robe déjà courte laisse maintenant deviner le haut des cuisses.
    
    — C’est vrai qu’il ...
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