Soifs d'un soir d’été - Histoires de Sexe

Soifs d'un soir d’été

... pénétration, si j’ai bien compris…
— T’as tout compris ! Y compris dans ma bouche, c’est trop intime, mais jouer à touche pipi et faire cracher le zizi, pas de souci !

Assez amusé, je marque mon étonnement :

— J’ignorais que tu avais ce genre de vocabulaire, ma chère…
— Je sais, je suis parfois un peu vulgaire au pieu, mais Denis aime bien et moi aussi. Pas toi ?
— Je reconnais que ça peut être excitant…
— Béné ne dit pas de gros mots ?
— Pas vraiment, et il vaut mieux que j’évite avec elle…

Elle continue de me branler :

— Tu sais, à moi, tu peux en dire… ça ne me gêne pas du tout…

Bon à savoir… Je sens que la sève monte de plus en plus. Avant de me laisser totalement aller à jouer les geysers, je demande :

— Au fait, toi, tu jouis comment ?
— T’inquiète, j’ai des doigts pour ça…
— Moi aussi…

Mireille me réprimande :

— Taratata ! On a dit : pas touche à la culotte.
— Dommage, je me serais bien vu te faire un cuni…
— Eh bien, ce ne sera pas pour cette fois-ci. Ceci dit, je te remercie de l’attention.
— Ah ! Dois-je comprendre qu’il y aura au moins une autre fois ?
— On verra, on verra !

Mireille glisse ses doigts sous sa culotte et commence à se masturber de bien belle façon. Je constate qu’elle semble plus libérée sur ce sujet que ma femme. Mais j’ignore ce que Béné peut faire actuellement avec Denis, je pourrais être surpris. Mais pour l’instant, ce qui m’importe le plus, c’est d’éjaculer sur les nibards de cette bourge salope et de ...

... lui mettre du foutre partout !

Ah tiens, j’ai vite pris le pli !

— Y a pas à dire, Mimi, tu sais bien t’occuper d’une bite !
— Ça va me faire presque trente ans d’expérience, mon bichounet.
— Oh oh, t’as commencé jeunette…
— C’est vrai. Tu vois, c’est ça, le problème des éducations trop strictes et des écoles de bonnes sœurs. Des anges par devant, et des démons par-derrière !

C’est un grand classique : en forçant trop d’un côté, on en arrive très souvent au résultat opposé. Je pense tout haut :

— Denis ne doit pas s’embêter avec toi !
— Il n’est pas le seul !

Elle marque une brève pause, puis elle continue :

— Je te choque ?
— Ce que tu fais de tes fesses ne regarde que toi… Et puis, j’en profite aussi.
— T’as une bonne philosophie ! Et toi, ton zob profite à d’autres femmes que la tienne ?
— Il profite à une certaine Mimi…
— Tu parles ! C’est plutôt lui qui profite de ma main !

Puis elle accélère le mouvement. Je serre les dents, ma résistance ne va pas tenir bien longtemps. Surtout quand j’entends Mimi me dire avec une voix suave et perverse :

— Allez, mon baiseur, lâche toute ta crème ! Fous-moi en partout !

Je cède ! Un premier jet pulse vers la poitrine de cette belle salope et s’écrase, telle une masse gélatineuse, pour amorcer ensuite sa descente en rigoles. Un autre jet éclabousse une aréole, laissant une petite noisette de sperme s’accrocher au téton, tandis que le reste glisse le long de la courbe du sein.

— Oui, c’est ça, mon ...