1. Soifs d'un soir d’été


    Datte: 31/01/2024, Catégories: fh, couplus, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, entreseins, libercoup, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... ce qu’il y a dedans ! Ce qui n’empêche pas plein de choses…
    
    Et c’est alors que les deux nouveaux couples ont franchi le gué.
    
    Que c’est bon de pouvoir peloter, lécher et sucer une telle poitrine ! Je n’en reviens pas de la tournure des choses ! Mais je ne vais certainement pas m’en plaindre, d’autant que Mireille ne reste pas inactive sur mes genoux !
    
    Isolés dans leur petit monde à eux, Denis et Bénédicte ne se soucient plus de nous. Ravie, ma femme se laisse caresser à tout va par un autre homme qui est fort enthousiaste ! Elle a facilement jeté son bonnet par-dessus les moulins, elle pourtant parfois si prude. Le rhum semble être un bon remède pour décoincer les gens. Il est vrai que mon collègue m’a raconté diverses choses torrides se passant sur son île natale. Je commence à comprendre qu’il n’a peut-être pas exagéré.
    
    C’est amusant comment le sein de Mireille se pose sur ma main, et même en déborde, telle une sorte de masse douce, molle et presque gélatineuse, oui, comme un flan. Même si elle n’est pas génialement folichonne, c’est la seule image qui me vient en tête. Et puis, ça me change des nénés de Béné…
    
    — Oh le gros coquin ! minaude Mireille.
    
    Je viens juste de nicher mon nez entre ces deux monts bronzés, mais dont les extrémités pointues sont restées blanches comme la neige. Le contraste est assez fort. Sans parler des tétons bien durs qui ressemblent à des petites tours, entourés d’aréoles légèrement granuleuses. Ce qui est fascinant dans les ...
    ... lolos de Mimi est la souplesse, la malléabilité de ceux-ci. Tout ceci me change agréablement de la poitrine plus sage de Bénédicte, avec laquelle j’avoue avoir beaucoup joué. Mais aujourd’hui, c’est aussi l’attrait de la nouveauté.
    
    Du coin de l’œil, je remarque que c’est aussi l’attrait de la nouveauté pour Denis qui se fait un plaisir d’honorer et de flatter comme il se doit les deux monts qu’il a à sa disposition. Ma femme apprécie visiblement les marques de vénération que le mari de ma compagne de jeu est en train de lui prodiguer. Elle est même rayonnante, c’en est presque vexant pour moi.
    
    C’est alors que je me souviens du même sourire, des mêmes yeux pétillants, ceux du début de notre relation avant que l’habitude s’installe. J’aime toujours ma femme, et je suppose qu’elle m’aime, mais le brasier du début s’est assagi…
    
    Je me demande quelle expression s’affiche sur mon visage. Je dois sans doute ressembler à un petit garçon qui déballe ses jouets de Noël au pied du sapin. Comme lui, je profite des deux cadeaux que j’ai en main ou en bouche, et je ne m’en prive pas. Je reste surpris de leur flexibilité. Il est vrai que je suis habitué depuis bien longtemps à des seins plus fermes, aussi bien ceux de ma femme que de ses prédécesseuses.
    
    En attendant, je continue de déguster les exquis appas de Mireille, qui sont de surcroît réchauffés par le soleil, une douce tiédeur en bouche. Quel divin plaisir de les malaxer, de les caresser, de les tâter, de les palper, de les ...
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