1. Soifs d'un soir d’été


    Datte: 31/01/2024, Catégories: fh, couplus, jardin, Voyeur / Exhib / Nudisme Masturbation caresses, entreseins, libercoup, Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... comment réagirais-tu si ton homme pelotait une femme sous tes yeux ?
    
    Mirelle réplique :
    
    — Je comprends où tu veux en venir, Béné. Ça dépend laquelle. Si tu fais allusion à ta petite personne, sache qu’il n’y aura pas d’apocalypse !
    — C’est gentil… Donc je peux ?
    — Tu peux et je peux !
    
    Elles se mettent à rire comme des petites folles, se trémoussant sur les genoux masculins. Sous ces frétillements de fesses, je finis par desserrer les cuisses. Fatalement, mon sexe tendu prend de la hauteur et s’en vient cogner sur la petite culotte de Mireille. Se pressant un peu plus contre moi, celle-ci clame à sa voisine :
    
    — Aaah ! Il y a de l’amélioration !
    — C’est-à-dire ?
    
    Lui demande ma femme. Sa copine lui répond :
    
    — Je viens d’avoir la preuve que je ne laisse pas indifférent ton mari…
    — Ah, moi aussi, je viens d’avoir la même preuve au sujet du tien !
    
    Comment voulez-vous rester platonique avec une femme aguichante et quasiment nue sur les genoux, surtout quand votre moitié fait la même chose sur les cuisses de votre ami ? Et qu’en plus, il semblerait que votre légitime ne s’offusque pas de cette égratignure dans le contrat de mariage…
    
    Assez perplexe, hésitant sur la suite à donner, je prends mon courage à deux mains, et je tente de poser à plat la situation afin d’avoir des réponses, pour être sûr de ne pas faire prochainement une grosse connerie. Je demande conjointement aux deux femmes :
    
    — Mesdames, parlons peu mais parlons bien…
    
    Ma femme s’amuse ...
    ... :
    
    — Oh oh, mon mari vient de basculer en mode analyse !
    — Oui, ma chérie. J’aimerais savoir si c’est du lard ou du cochon, comme on dit. Vous êtes un peu pompettes toutes les deux, et la situation est « un tantinet » scabreuse, bien que très tentante…
    
    Spontanément, Denis ajoute de l’eau à mon moulin :
    
    — Oh oui !
    
    Un sourire étrange se dessine conjointement sur les lèvres de nos femmes. Mireille reprend la main après son mari :
    
    — Tu t’inquiètes des éventuelles conséquences, c’est ça ?
    — Pas que moi, Denis est aussi concerné, il me semble. Mettez-vous un peu à notre place : vous êtes en train de nous allumer, et quelque chose de bien ! Et nous, pauvres hommes que nous sommes, nous ignorons si c’est un feu rouge ou un feu vert…
    
    Mirelle se tourne vers Bénédicte :
    
    — T’en penses quoi, Béné ? Feu rouge ou feu vert ?
    
    Se trémoussant impudiquement sur les genoux de Denis, ma femme fait semblant de réfléchir :
    
    — Bonne question… oui…
    
    Quelques secondes s’écoulent, interminables. Puis, affichant un petit sourire pervers, ma femme reprend la parole :
    
    — Si c’est vert, interdiction aux quatre parties de le reprocher plus tard aux autres, OK ?
    
    Un petit silence se fait. Puis trois réponses fusent :
    
    — Ça me convient parfaitement. (Denis)
    — Idem pour moi, on ouvre la parenthèse, puis on la referme, point barre. (moi)
    — Moi aussi, ça me va. (Mirelle)
    
    D’un ton léger, ma femme conclut :
    
    — Dans ce cas, tout est OK. Cependant, pas touche à nos culottes et ...
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