Soifs d'un soir d’été
Datte: 31/01/2024,
Catégories:
fh,
couplus,
jardin,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Masturbation
caresses,
entreseins,
libercoup,
Auteur: Patrik, Source: Revebebe
... avons droit à quatre beaux lolos sous nos nez. Ceux de ma femme sont comme deux grosses pommes bien accrochées. Ceux de sa voisine sont comme deux poires accrochées par leurs queues, c’est un peu curieux, ça doit joyeusement ballotter, mais c’est néanmoins foutrement bandant.
Mais l’herbe est souvent plus verte dans le pré voisin. En témoignent les regards que Denis jette sur ma femme, et ceux que je jette sur la sienne. Et à nos âges, on ne se refait plus.
— On fait la ronde ?
— Oui, Mimi, on fait la ronde, comme dans la Planète des Singes !
Les deux femmes se lèvent, leurs pas sont un peu chancelants, ce qui ne m’étonne pas. Telles deux aiguilles d’une horloge, elles font le tour de la table, l’une bien en face de l’autre. Denis les regarde d’un air étonné, moi aussi. Je ne comprends pas bien ce qui est en train de se passer actuellement sous mes yeux, et surtout cette allusion à la Planète des Singes.
Puis les deux femmes quittent la table, Bénédicte commence à tourner autour de Denis, toujours assis sur sa chaise, tandis que Mireille fait de même avec moi. Au bout de deux tours, quasiment synchrones, les femmes s’assoient sans complexe sur nos genoux !
— Avons-nous bien tourné, Mimi ?
— Oui, nous avons bien tourné, Béné !
La situation devient surréaliste, mais que demander de plus ? Mirelle est assise sur mes genoux, ses seins à quelques centimètres de mes doigts, ce qui me donne plein d’idées interdites aux mineurs. Il est vrai qu’en guise de ...
... réciprocité, Bénédicte est assise sur ceux de Denis, et que celui-ci doit avoir les mêmes arrières-idées de moi, sans oser franchir le pas…
Pour l’instant, lui et moi ne faisons rien, soit par timidité, soit par auto-neutralisation.
Ma femme semble vouloir que Denis sorte de son impartialité, puisqu’elle pose ses mains sur ses épaules. Aussitôt, pour ne pas être en reste, Mireille passe un bras autour de mon cou, ce qui rapproche dangereusement sa poitrine dénudée de la mienne.
Il est heureux que mes cuisses soient bien pressées l’une contre l’autre, sinon mon cinquième membre irait cogner contre la petite culotte de Mireille. Je me demande si Denis est en train de vivre le même problème que moi, surtout que, maintenant, Béné enlace aussi son cou…
Mireille resserre son étreinte, ce qui fait que son corps tout chaud se presse contre le mien. J’essaye de rester zen, ce qui n’est pas évident ! Puis, elle se tourne vers sa copine pour lui demander :
— Béné, il est comment le tien ?
— Hmm, très sage !
— Comme le mien.
Ma femme fait remarquer :
— Le tien, c’est initialement le mien, Mimi !
— Je peux dire la même chose, Béné ! En tout cas, ils sont bien sages, nos hommes, comme des images !
— Je crois qu’ils ont un peu peur de se laisser aller…
— Ah bon ? Pourquoi ?
Ses bras toujours autour du cou de Denis, Bénédicte explique :
— Mimi, tu réagirais comment si ton homme venait à zieuter ostensiblement une femme dans la rue ?
— Hmm… pas très bien…
— Et ...