Mutinerie au Congo, Chapitre 05
Datte: 28/01/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byHBuff, Source: Literotica
... quoi en faire. Dans le doute, ça continue de grogner malgré l'épuisement post-festif.
Mais soudain, c'est la panique!
Des camions kaki arrivent, chargés de parachutistes belges. Les soldats quadrillent le village et regroupent rapidement les coupables pendant que d'autres prodiguent les premiers soins aux filles violées. Les mutins venus de Camp Hardy sont déjà loin; ils rigolent en rentrant chez eux se faire engueuler par leurs femmes et copines congolaises. Plus tard, le colonel Bobozo leur passera un savon en disant que c'est par miracle qu'aucun d'entre eux n'a été fait prisonnier.
Des médecins et infirmières belges sont dépêchés sur les lieux, mais avant que tout ce beau monde arrive, le capitaine en colère a le temps de faire aligner une quinzaine de villageois congolais sur un grand mur blanc appartenant au magasin général. Sans procès, il les fait fusiller. Armand Kayumba et son fils Nestor sont du nombre.
Les dernières pensées d'Armand sont pour le magnifique cul de Jeannine Verchères, et Nestor songe à la prodigieuse éjaculation dont il a bourré Jeannine, puis Charlotte; les balles belges fauchent le père et le fils tandis qu'un soldat des Ardennes les recommande à Dieu; il s'improvise aumônier pour ne pas trop froisser sa conscience.
Pendant qu'au siège des Nations Unies, à New-York, le représentant du royaume de Belgique échangera des invectives et du fiel avec son homologue congolais, on assistera à une belle réciprocité sur le terrain. Dans ce ...
... village dont la tranquillité vient d'être troublée tragiquement, les soldats belges remettront de l'ordre.
Une nouvelle compagnie arrivera, avec un major grisonnant, qui fera comprendre aux familles congolaises que la politesse peut aller dans les deux sens. La veuve d'Armand Kayumba, à qui l'on viendra de remettre les corps sans vie de son mari et de son fils, subira des viols répétés, elle et ses filles, aux mains d'une dizaine de paras belges, fraîchement débarqués de Bruxelles et désireux de découvrir la chaleur des tropiques par un soir pourtant frais.
Deux infirmières belges sorties fumer sous le ciel étoilé du soir, amies depuis leur enfance, apprendront trop tard que le major grisonnant et ses vétérans buveurs de cervoise peuvent aussi violer des Blanches quand c'est possible.
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Revenons au matin de ce mardi 12 juillet, à Camp Hardy.
Le colonel Bobozo n'a rien su de toute cette folle équipée nocturne; c'est parce qu'il était allé dormir près de Juliette. Le gros nègre de quarante-cinq ans s'est endormi la face dans ses doux cheveux noirs en lui tenant tendrement les seins, couché contre elle en levrette. Sa femme n'est pas contente.
Le matin venu, il pilonne Juliette avec son érection du matin. Il la prend en levrette en lui caressant les seins, tandis qu'elle le reçoit à quatre pattes en gémissant de plaisir obligé. Juliette est certaine que plus aucun Blanc ne voudra jamais d'elle. Elle pleure en songeant à sa petite sœur. ...