Mutinerie au Congo, Chapitre 05
Datte: 28/01/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byHBuff, Source: Literotica
... cris et les hurlements de sa mère qui enterre les sifflements fatigués des Congolais.
« Pardon... Pardon, mon petit trésor... Pardon! Oohh... Oohh... Pardon ma petite pouliche... » se lamente le père en sanglots pendant qu'il viole sa fille, qui gémit doucement en sentant la bite paternelle frotter ses parois vaginales, tout ça pendant que maman traite papa de sale fumier et de verrat abject.
Car le papa lâche de chauds grognements qui trahissent toute l'étendue de son plaisir coupable. Ses mains courent sur les fesses de sa fille tandis qu'il la pilonne de plus en plus fort, en haletant et en contemplant cette nudité qu'il désirait au plus noir de ses secrets. Jeannine ouvre grand la bouche, et pousse une salve de geignements suraigus en jouissant très fort sous les yeux horrifiés de sa mère, puis papa lâche un long râle guttural et conclut la sordide affaire... Sa verge palpitante prend possession de tout son être...
Papa jouit à gros traits épais dans sa fille.
« Aaahhh... Aaaahhh... Aaahh, non! Pardon... Pardon, ma belle petite Jeannine... Tu sais que papa t'aime... »
Papa est tombé à genoux, foudroyé par son plaisir immoral, il pose le front contre la croupe satinée de sa fille, sous les rires gras des soldats, et caresse doucement ses jolies fesses d'adolescente, sans se rendre compte qu'il est maintenant en train de lui couvrir le cul de chauds baisers paternels sous les applaudissements nourris des mutins, qui à présent se rhabillent. La Force publique ...
... a frappé au plus profond.
« Bon! On vous laisse en famille! Et merci de nous avoir prêté vos deux filles. C'était vraiment chouette! » leur crie le sous-lieutenant Nkongolo en ricanant avec ses hommes.
« Tiens! Voilà ton joujou! » ajoute-t-il en laissant le vieux tromblon sur la table souillée de sperme congolais.
Une fois la vingtaine de violeurs partis, toute la famille éclate en sanglots et la maman martèle les épaules de son mari comme une folle en braillant comme une hystérique.
« Mes filles! Mes deux belles grandes filles! Aaaahhhaaaahhaaaahhhaa... aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa... AAAAAAAAA HHAAAA AAAA AAAAAA HHAAaaaaaaa... RRRrraaaaaahh-aaaaaaaa aaaaaa aaaaaaaaaaaa... »
Mais d'autres ombres au visage profondément chocolaté viennent d'envahir la maison des Verchères. Armand Kayumba et son fils Nestor, avec une poignée d'autres hommes du quartier noir, font leur entrée en scène. Les panthères parties, les hyènes viennent chercher leur pâture.
Les deux filles accueillent les nouveaux-venus d'un regard presque indifférent et chargé d'un lourd silence; quelques viols de plus ne changeront pas grand-chose dans cette horreur infinie. La mère crie convulsivement pendant que le père est roué de coups à l'aide du vieux tromblon dont on s'est saisi.
Madame Verchères est humiliée dans la cuisine par deux jeunes hommes qu'elle connaît depuis toujours. Elle est violée de nouveau, sur la table à la place de ses filles, tandis qu'elle entend les autres grogner et hurler ...