1. Mutinerie au Congo, Chapitre 05


    Datte: 28/01/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byHBuff, Source: Literotica

    ... d'un plaisir sauvagement satisfait en passant sur ses filles, qu'ils ont transportées dans leur chambre pour les violer plus à l'aise dans leurs lits respectifs.
    
    Les lits aux draps blancs grincent pendant que Nestor et son père prennent leur plaisir dans ces jeunes filles blanches qui avaient l'habitude de toujours passer sans les voir.
    
    « Tiens! Tiens... Sale petite snobinarde! Tiens, petite salope! Han! Han! Ça t'apprendra! » crie Nestor à la douce Jeannine, qui subit ses coups vengeurs en se laissant porter par les secousses, le corps tout mou, les yeux indifférents, regardant le plafond gris dans la nuit qui touche bientôt au point du jour. Armand Kayumba, quarante-cinq ans, se délecte des seins de Charlotte pendant qu'il sent l'étroitesse de sa virginité brisée; ses gros seins, qu'il avait toujours vus sagement cachés sous ses bourgeoises tenues de lycéenne, lui sont à présent offerts dans leur générosité secouée des spasmes du désir enfin satisfait. Et là, Armand lâche un grand juron en lingala et balance toute sa sauce, enfin!
    
    Les Verchères ne sont pas le seul ménage blanc à avoir droits aux hommages de la soldatesque en goguette. Des dizaines de femmes et de jeunes filles européennes sont violées en réunion, un peu partout dans la campagne entre Thysville, Matadi et la capitale Léopoldville, par cette nuit fraîche du 11 au 12 juillet 1960.
    
    À l'aube, les jeunes nègres du village sont toujours en train d'humilier les filles Verchères et de violer ...
    ... quelques-unes des autres filles du quartier blanc après avoir grossi en nombre et s'être répandus dans d'autres maisons. La plupart des Blancs ont couru se réfugier dans le lycée, mais les moins chanceux ont le déplaisir, et le plaisir affreux, d'assister au viol de leurs épouses et de leurs filles. Une grand-mère déguste elle aussi.
    
    « Tu es moins fière maintenant, hein? Espèce de salope! » crie Armand Kayumba à une jeune fille épuisée, aux yeux à demi clos, qu'on tient à genoux devant lui. C'est Maude Bonenfant, une autre fille du voisinage. Armand est tellement ivre de joie qu'il ne sait pas trop si elle est blonde ou brune, et après tout, il s'en fout.
    
    Il se masturbe frénétiquement, tâchant de tirer quelque chose de sa bite épuisée par les deux viols qu'il vient de commettre. L'adrénaline du moment aidant, il y arrive enfin et la jeune fille reçoit deux traits gorgés de vengeance qui viennent napper ses jolis seins de pucelle blonde. D'autres Congolais suivent son exemple, et c'est une douche de sperme en règle que la « sale petite gourgandine » reçoit sur ses seins, précédemment mis à nus par l'arrachement du petit pyjama qu'elle portait la veille en allant se coucher dans son lit de fille vierge.
    
    Les Congolais du village se déchaînent sur les filles du petit quartier blanc tandis que le soleil fait briller le jour de plus en plus haut. Il ne faut pas grand-chose pour rompre le fil de la civilisation. Demain sera un autre jour, mais demain, c'est déjà là et l'on ne sait pas ...