1. Mutinerie au Congo, Chapitre 05


    Datte: 28/01/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byHBuff, Source: Literotica

    Anne LeBlanc, sosie de l'actrice Ann Blyth, pleure parce que son père vient de la tromper avec Véronique. Les nègres se mettent en devoir de la consoler avec la chaleur de leurs bites qui se pressent autour d'elle. Le beau petit corps d'Anne va finir sous une épaisse couche de sperme congolais, au son des tam-tams. C'est le sort réservé aux plus belles Blanches de Camp Hardy en ce fatidique soir du 11 juillet 1960. Les années cinquante sont finies.
    
    C'est sans compter les épouses des soldats congolais, qui finissent par venir nombreuses dans le quartier blanc pour venir invectiver les Blanches d'une voix rageuse, car elles sont jalouses de leurs beaux mâles et détestent voir les salopes blanches « prendre du bon temps » avec leurs maris, leurs frères ou leur père.
    
    Elles viennent pincer les mamelons des Lucie, Nadine et Anne et compagnie, les engueulent et les frappent du poing. Il faut beaucoup de temps et d'efforts pour les refouler, et la plupart des hommes mariés sont au regret de devoir rentrer sagement dans leur résidence. Les jeunes étalons restent maîtres du quartier blanc; chacun va se coucher près d'une fille. Il y a assez de jeunes hommes chez les mutins pour « satisfaire » toutes les petites demoiselles, qui vont toutes dormir chacune dans les bras d'au moins deux jeunes amoureux, dont elles auront droit aux faveurs viriles le matin venu.
    
    Certains mutins font l'arithmétique simple dans leur tête : seulement quarante filles blanches avec leurs mères pour ...
    ... trois mille soldats, c'est un peu mince. Il faut aller en trouver des fraîches ailleurs.
    
    Des jeeps et des camions démarrent et s'élancent sur les routes de campagne. Le but de la mission est jugé suffisant pour justifier la dépense en essence. Beaucoup de maris parmi les mutins se glissent en douce hors de chez eux et se joignent à cette virée, qu'ils ne rateraient pour rien au monde.
    
    Les mutins se lancent bravement sur la route entre Thysville et Léopoldville, où des troupes belges étaient présentes avec une surveillance aérienne il y a trois jours seulement, mais les mutins ont une veine inouïe : tout étant revenu au calme jusqu'au 11 juillet, le bataillon belge est revenu dans la capitale, où une brigade belge au complet achève de complètement désarmer les mutins. La seconde mutinerie de Camp Hardy, totale dans sa violence, prendra l'état-major belge par surprise quand on l'apprendra aux généraux le soir du 11. À Bruxelles, c'est l'horreur qui sera annoncée sur les unes des journaux le surlendemain.
    
    La plupart des Blancs ont fui ou à tout le moins évacué femmes et enfants, surtout dans les environs de Thysville, si bien que les mutins en quête de joie charnelle doivent pousser beaucoup plus loin leur équipée nocturne, sauf pour ceux qui ont songé à retourner au couvent pour voir si les nonnes y sont toujours. Pour les autres, il reste certainement de jolies Blanches qui n'attendent qu'eux pour venir les tirer du lit.
    
    Dans leur foi en Dieu, les missionnaires sont ...
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