1. Mutinerie au Congo, Chapitre 05


    Datte: 28/01/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byHBuff, Source: Literotica

    ... toujours là, avec leurs grandes cornettes blanches, symboles de pudeur et de modestie qui ne les ont pas protégées des viols le soir du 5 juillet. Ce ne sera pas plus efficace le soir du 11 quand deux jeeps et un camion remplis de mutins débarqueront.
    
    Le lieutenant, sergent il y a peu, et la vingtaine de mutins font sauter les serrures, investissent le couvent et trouvent rapidement les religieuses dans leurs cellules, car les nonnes se couchent et se lèvent tôt. Elles sont en chemise de nuit, sauf celles qui sont de garde.
    
    Les soldats vont de chambre en chambre, et dès qu'ils trouvent une chambre de novices, ils ferment la porte derrière eux et se jettent sur les jeunes filles. Les religieuses plus âgées sont épargnées, et beaucoup sont surprises de souhaiter voir des mutins venir pour elles pendant qu'elles prient en entendant les cris et bruits amortis de la tragédie morale qui se joue dans les deux chambres où les six jolies novices dormaient à poings fermés il y a peu.
    
    C'est la rage post-coloniale qui déferle sur les malheureuses filles de bonne famille ayant pris le voile, et déjà honteuses d'avoir été violées six jours plus tôt. Dans chacune des deux chambres où se trouvent trois novices, c'est une meute hurlante de huit ou neuf nègres en colère qui se jette sur elles et s'attaque rageusement à leurs amples chemises de nuit, qui cèdent sous les mains sombres des soldats de la Force publique, dans un grand déchirement qui libère les jolies formes et les ...
    ... éblouissants mouvements de leurs seins d'adolescentes.
    
    Chaque jeune nonne est ainsi dénudée et plaquée sur son petit lit de style médiéval, où un mutin lui maintient les poignets pendant qu'un ou deux autres luttent avec ses jambes en commentant la beauté de son sexe d'apparence vierge. Un caporal rappelle à ses hommes qu'elles ont déjà été déflorées la semaine dernière. Pas de bol!
    
    Certaines des jeunes filles hurlent à la mort en gardant obstinément les jambes soudées l'une contre l'autre et en tortillant leur nudité dans un combat d'anguille dont elles ne font que retarder l'issue. Comme elles ont déjà été violées, elles cèdent rapidement, sachant que cette résistance ne fait que mettre les assaillants en colère, et ils risquent alors de les rouer de coups pour ensuite les violer de toute façon.
    
    Il y a pourtant deux récalcitrantes, Joséphine et Richère, qui tentent de les griffer aux yeux et de les mordre. Les soldats font d'elles un exemple.
    
    Les deux héroïnes reçoivent gifles et coups de poing redoublés, à profusion, et leur tête s'en trouve secouée dans les gracieuses vagues de leurs longs cheveux bruns, qui voguent libres sur cette mer de draps et d'oreillers soumis au cyclone tropical des soldats qui les frappent et font saigner leur bouche et enfler leurs arcades sourcilières.
    
    Joséphine et Richère finissent par capituler et hurlent leur douleur et leur honte sans nom sous les coups de boutoir des Congolais qui les violent rageusement en les traitant de sales ...
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