Mutinerie au Congo, Chapitre 05
Datte: 28/01/2024,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: byHBuff, Source: Literotica
... Nkongolo sent sa queue se raidir au son de ce qu'il ordonne haut et fort :
« Bon les gars! Emmenez les deux filles et le papa dans la cuisine! Et vous trois, Louis, Théo et Patrice, amusez-vous ici avec la maman! Je vais venir l'essayer tout à l'heure... »
« Non! Noooooon! Pas mes filles! Pas mes belles grandes filles! Nooooooon! Prenez-moi! Passez-moi tous dessus, mais laissez mes f... MMMMMMMHH... »
« Ta gueule, la maman! » lui lance Théo en lui empoignant le cul pendant que Louis l'embrasse de force sous le regard excité de Patrice. Ces trois-là préfèrent les femmes plus mûres, et le lieutenant le sait.
« Fumiers! VOUS N'ÊTES QU'UNE SALE BANDE DE SINGES! VOUS SEREZ TOUS EXX... HHWWW!!! » tonne le papa, dont les vociférations rageuses sont étouffées dans le sang nasal par un bon coup de crosse qui lui casse le nez et lui rougit le menton en lui passant l'envie de commenter davantage, tandis que ses deux filles sont soulevées comme des plumes et emportées dans la cuisine par les nègres, qui les emportent souriants comme des enfants au parc d'amusement. Ils y sont effectivement, au parc d'amusement, mais ce parc est d'une nature autre, et les mutins y font figure de clowns sombres et inquiétants.
Les filles crient et piaillent, leurs corps menus emportés dans ces montagnes russes de bras d'ébène, cernées qu'elles sont par cette collection mouvante d'ombres souriantes qui les transportent en gardant un silence terrifiant.
Jeannine, la plus âgée, crie à ...
... tue-tête et pleure, pour elle et sa sœur cadette; son père la voit se tortiller et secouer son corps tout entier dans ses tentatives désespérées de s'échapper des griffes de ces démons en uniforme.
Perdue dans ce flot de nègres, la jeune fille replie et déplie ses jambes ensemble comme si elle cherchait à repousser la masse sombre et musclée qui la garde bien serrée dans son emprise collective et la fait passer ainsi -- en flottant dans leurs bras -- l'entrée de la cuisine, dont l'obscurité est brutalement éclairée par le sous-lieutenant, qui vient de trouver le commutateur.
Charlotte, la cadette, entend tout plein de commentaires sur la taille de ses seins, bien plus gros que ceux de Jeannine, pendant que les hommes, innombrables à ses yeux baignés de larmes, la transportent à la suite de sa sœur, qui hurle et piaille tandis qu'elle-même demeure dans un silence paralysé et ressent toutes ces mains qui l'attouchent aux seins comme autant de cuisantes brûlures à travers le mince coton de son pyjama un peu trop petit pour sa forte poitrine.
Au milieu de la cuisine, un soldat balaie rageusement la grande table et envoie valser le délicat pot de verre qui contenait deux belles marguerites plantées par Charlotte avec des semences achetées en Belgique. Le pot se casse par terre pendant que le papa reçoit d'autres coups de crosse et de poing au visage et que ses deux filles sont étendues sur la table, côte à côte, prises d'une danse de saint-guy et se débattant avec l'énergie du ...