1. Mutinerie au Congo, Chapitre 05


    Datte: 28/01/2024, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: byHBuff, Source: Literotica

    ... désespoir contre les nègres tout souriants.
    
    Le papa, qu'on ligote solidement à une chaise, assiste impuissant au déshabillage de ses filles, ce qui force en lui une excitation extrême dont il aura grand honte le reste de sa vie.
    
    Au milieu de la meute hurlante qui les traite de « petites salopes blanches », de « chipies » et de « petites putes de Bruxelles », les deux filles sentent un troupeau de mains qui les pressent de partout en même temps...
    
    « NNAAAAAOOOOON!!! NAOOOOOOOOOOOOON! ARRÊTEZ, NON!!! » crie Charlotte pendant qu'ils libèrent ses seins généreux en faisant sauter tous les boutons de sa blouse de pyjama.
    
    « PAS ÇA! PAS ÇA! PAS ÇA! PAS ÇA! PAS ÇA! J'VOUS EN PRIE... AAAAHHH NNAAAAAOOOOON!!! » se lamente Jeannine en secouant convulsivement la tête pendant qu'on déchire sauvagement le haut de son pyjama blanc à petites rayures brunes et que d'autres nègres avides de tabous tirent impitoyablement son pantalon de pyjama vers le bas.
    
    Les nègres poussent des grognements sonores en voyant leurs seins apparaître brusquement dans l'éclat d'une vertu de fille blanche mise à nu au cœur de l'Afrique, dans cette cuisine éclairée, mais remplie d'ombres. Les ombres sous leurs seins ne se tranquillisent pas, car les jeunes filles sont secouées par les ombres anticoloniales qui achèvent de les déshabiller dans un concert chaotique où cris, larmes, prières et piaillements livrent bataillent aux mutins qui scandent « Les salopes blanches! Les salopes blanches! Les salopes ...
    ... blanches! » Le papa Verchères pleure comme un enfant, son membre pourtant en érection, quand il voit la troupe pétrir les seins des filles -- amples et généreux pour Charlotte, modestes et fermes pour Jeannine -- et faire main-basse sur leurs deux touffes luxuriantes en s'émerveillant du blanc satiné de leurs cuisses de demoiselles comme il faut. Le lieutenant se rince l'œil, bandé comme un étalon noir. Dieu que c'est bon, de déshabiller ces filles en pyjama!
    
    Brune, Charlotte a les mamelons assez bruns au milieu de larges aréoles qui couronnent des seins de taille respectable, que lui envie sa sœur, châtaine, et dont la chatte triangulaire est d'un brun chaleureux, moins foncé que le buisson touffu de Charlotte.
    
    Le lieutenant, qui s'amuse des sanglots étouffés du père, choisit la petite châtaine et use de son privilège de grade pour se poster entre les deux jambes lisses de Jeannine, que quatre hommes au regard amusé maintiennent sans peine par les chevilles et les poignets. Le caporal-chef fait de même pour Charlotte, qui bientôt hurle d'une douleur suraiguë tandis que le brutal caporal la pénètre sans aucun préliminaire et pulvérise sa virginité.
    
    S'estimant plus raffiné, le lieutenant admire le joli minois de la petite châtaine en panique, et note la joliesse de ses cheveux mi-longs qu'elle secoue en belles vagues ondulées dans ses sanglots et ses supplications, puis il se baisse et porte son visage contre le triangle intime de sa chatte brune, qu'il embrasse avec ...
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