Gourdasse
Datte: 20/01/2024,
Catégories:
fh,
hplusag,
Collègues / Travail
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
entreseins,
Oral
pénétratio,
fsodo,
occasion,
Auteur: Roy Suffer, Source: Revebebe
... temporaire, et vous un arrêt de travail…
— Ah bon, d’accord… Je croyais que c’était plus simple, qu’elle venait à ma place et le travail était fait…
— Pas tout à fait, Madame. Imaginez qu’elle grimpe sur un escabeau pour nettoyer le dessus d’une armoire et qu’elle tombe : elle serait très ennuyée et moi aussi. Il faut faire les choses en règle… Humpf.
— Vous avez sûrement raison. Mais vous aussi, faites attention à vot’ circulation. Je vois bien que vous avez des élancements dans les jambes. C’est pas bon ça. Bonsoir Monsieur Rezzin.
— Merci du conseil, bonsoir Madame Labrosse.
Si elle savait la pauvre dame ce qui perturbe ma circulation ! Cette fois je me libère de son emprise et fonce donner un tour de verrou. Le temps de me retourner, et la belle s’est extraite de sa cachette en même temps que de sa robe-chaussette, prouvant au passage qu’elle n’avait rien en dessous, un sourire satisfait sur les lèvres. Je la fais s’agenouiller sur mon fauteuil et, sans préliminaires ni précautions, je l’enfile avec toute la rage que sa petite séance avait fait monter. Elle rugit, couine, halète, tandis que je laisse libre cours à toutes mes envies les plus perverses. C’est assez rock’n’roll un fauteuil pour baiser : ça roule, ça tourne, ça bascule et il faut quelques minutes pour bien en maîtriser tous les mouvements. Mais après, qu’est-ce que c’est bon ! On peut tout faire… Je fais tout ! Une demi-heure plus tard, la moitié de la boîte de Kleenex recueille nos liquides. ...
... J’avoue n’avoir jamais connu une telle affamée de sexe que cette fille-là, et je me sens à nouveau vidé jusqu’à la dernière goutte. Je la ramène chez elle et je rentre chez moi, pas question d’aborder son « grand oral » demain sans une nuit de repos.
C’est fou cette faculté qu’elle a d’aborder les échéances importantes sans le moindre trac, avec tout son naturel et sa spontanéité ! Je la regarde pendant qu’elle détaille ses diapos, parfaitement sereine, et je vois bien que le « chef » régional n’a d’yeux que pour la silhouette qui se détache sur l’écran, les autres aussi d’ailleurs. Ah s’il n’y avait pas cette voix et ce débit atrocement nunuche ! Elle aurait un avenir certainement doré. Son rire à la Shirley émaille le repas, le chef l’a placée à côté de lui. En fait, je crois bien qu’elle a réussi son coup et ce n’était pas gagné d’avance. Sur la route du retour, elle me confie avec le plus grand naturel que le directeur régional a passé le déjeuner à lui tripoter les cuisses et… qu’elle le lui a bien rendu. Pas d’autre solution que de s’arrêter dans un endroit désert, un petit bois proche de l’autoroute, et de lui faire tâter du capot de ma berline. J’en profite pour lui dire qu’elle est une fichue salope, compliment qu’elle accepte avec enthousiasme.
— N’empêche, ajoute-t-elle, que je vais vous faire gagner dix fois le salaire que vous me verserez, parce que j’espère bien que vous allez m’embaucher !
La réponse vient quelques jours plus tard, non pas à l’agence, mais ...